Michel Vâlsan - La fonction de René Guénon et le sort
de l’Occident (III et fin).
Suite du texte magistral de Michel Vâlsan sur le sort de l’Occident...
Sources :
Certaines possibilités initiatiques latentes du
Catholicisme dont on pouvait espérer le réveil, n’ont pas eu de suite : il s’agit
de ce que Guénon, qui en avait connaissance depuis longtemps, désignait plus
tard dans ses Aperçus sur l’Initiation par l’expression de «
survivance possible de quelques groupements d’hermétisme chrétien du moyen âge
» (op. cit., p. 40, note 1). Or tant que les choses resteront ainsi,
aussi bien dans l’ordre doctrinal que dans l’ordre effectif, et qu’un espoir de
redressement subsisterait, il sera légitime d’accorder une importance aux
conditions générales intellectuelles dont dépend dans quelque mesure la
réalisation de ce redressement.
Par contre, si cet espoir n’existait plus, ou s’il se
trouvait réduit à peu de chose, et si les perspectives les moins favorables de
la « seconde hypothèse » que nous avons examinée précédemment semblent devoir
être considérées comme probables pour l’ensemble occidental, il y aurait,
d’autant plus, intérêt à souligner le caractère représentatif général de ces
manifestations spéciales de l’esprit moderne et anti-traditionnel, pour qu’une
certaine clarté en résulte.
Une telle clarté produira vraisemblablement beaucoup
de désillusion d’un côté, mais elle permettra aussi de simplifier les efforts
et l’orientation possible. D’autre part, on ne demanderait pas tant aux
représentants de l’Eglise de se prononcer sur des questions qui sont en dehors
de leur attribut normal ; ce serait déjà beaucoup, dans les conditions
actuelles, s’ils exerçaient ces attributs à l’égard de la mentalité moderniste
dont les méfaits sont d’ordre général et vont ainsi contre les intérêts même d’ordre
purement religieux de l’Eglise.
Si, à part cela, parmi
les membres de la hiérarchie catholique, il s’en trouvait dont les capacités et
les convictions dépassent l’ordre religieux, et nous ne voyons pas pourquoi il
n’en serait pas quelquefois ainsi, nous croyons qu’ils sauraient bien affirmer
leur présence et leur point de vue quant à l’orientation spirituelle
nécessaire, car une réserve excessive de leur part se tournerait contre le
droit et même le devoir qu’ils ont de vivre dans une communauté spirituelle où
la direction appartienne, non pas à la mentalité moderne la plus désolante, ni
aux superstitions les plus grossières, mais à l’Esprit de Vérité et à la
sainteté intellectuelle.
Mais René Guénon a averti que, malgré tout, certains
événements pourraient amener bientôt l’Eglise catholique (et nous ajoutons
également les autres églises), à considérer d’une façon très spéciale cette
question de position traditionnelle de la Chrétienté et aussi les rapports avec
les forces spirituelles de l’Orient dans lesquelles elle pourra même voir, à un
certain moment, un dernier appui pour son existence mise en danger.
C’est là le point particulier que nous avions réservé
précédemment et qu’on comprendra mieux maintenant après l’examen sommaire que
nous venons de faire. C’est en 1927, dans La Crise du Monde Moderne,
qu’il fut formulé.
Parlant de l’intérêt que l’Eglise aurait à devancer le
mouvement qui normalement devrait aboutir à la reconstitution d’une élite
intellectuelle, « plutôt que de le laisser s’accomplir sans elle et d’être
contrainte de le suivre tardivement pour maintenir une influence qui menacerait
de lui échapper », René Guénon ajoutait :
« Il n’est pas
nécessaire de se placer à un point de vue très élevé et difficilement
accessible pour comprendre que, en somme c’est
elle (l’Eglise) qui aurait les plus grands avantages à retirer d’une attitude
qui, d’ailleurs, bien loin d’exiger de sa part la moindre compromission d’ordre
doctrinal, aurait au contraire pour résultat de se débarrasser de toute infiltration
de l’esprit moderne, et par laquelle, au surplus, rien ne serait modifié
extérieurement.
Il serait quelque peu paradoxal de voir le
Catholicisme intégral se réaliser sans le concours de l’Eglise catholique, qui
se trouverait peut-être alors dans la singulière obligation d’accepter d’être
défendue contre des assauts plus terribles que ceux qu’elle a jamais subis, par
des hommes que ses dirigeants, ou du moins ceux qu’ils laissent parler en leur
nom, auraient d’abord cherché à déconsidérer en jetant sur eux la suspicion la
plus mal fondée ; et, pour notre part, nous regretterions qu’il en fût ainsi;
mais si l’on ne veut pas que les choses en viennent à ce point, il est grand
temps, pour ceux à qui leur situation confère les plus graves responsabilités,
d’agir en pleine connaissance de cause et de ne plus permettre que des
tentatives qui peuvent avoir des conséquences de la plus haute importance
risquent de se trouver arrêtées par l’incompréhension ou la malveillance de
quelques individualités plus ou moins subalternes, ce qui s’est vu déjà, et ce
qui montre encore une fois de plus à quel point le désordre règne partout
aujourd’hui.
Nous prévoyons bien qu’on ne nous saura nul gré de ces
avertissements, que nous donnons en toute indépendance et d’une façon
entièrement désintéressée... (...)» (op. cit., pp. 131-132).
Il
apparaît maintenant que ces avertissements n’ont servi à rien, car les choses
ont continué dans le même esprit, et d’ailleurs, c’est surtout après cette date
que se consolida et s’étendit cette position « anti-orientale » et bien
moderniste dont nous parlions. Le développement des affaires occidentales a
aggravé encore la position de l’Eglise ; l’inquiétude des dangers prochains
grandit. En principe, il lui était offert le secours d’une solidarité
spirituelle avec tout ce qui est traditionnel dans le monde, avec l’Orient
véritable, car la menace présente pèse sur tout ce qui reste attaché aux
vérités saintes et à un ordre normal, bien qu’elle pèse plus particulièrement
sur ce qui subsiste encore de la forme traditionnelle de l’Occident.
L’Eglise
aurait pu avoir entre elle et l’Orient le trait d’union de cette élite
intellectuelle propre dont elle aurait dû favoriser la formation si ses dirigeants avaient bien compris quel
était le vrai intérêt de l’Eglise. Elle
n’a, entre elle et l’Orient, que ce barrage d’incompréhension et d’hostilité
tantôt ouverte tantôt dissimulée, que constitue cette position anti-orientale
qui l’isole avec ses propres dangers, et qui est l’œuvre d’une sorte de «
contre-élite ».
Elle
aurait disposé, pour se faire comprendre, du langage approprié d’un
intermédiaire intellectuel consacré, dans lequel les véritables élites
traditionnelles et les forces spirituelles seraient reconnues sans
contradiction et se seraient conciliées sans abdication, car l’enseignement
exprimé par René Guénon est en même temps une lumière intellectuelle et une
force coordinatrice.
Elle
n’a maintenant que des interprètes ignorants et incertains, dans la parole
desquels les véritables Orientaux n’auront aucune confiance et qui ne sauraient
exprimer aucune vérité reconnaissable ; de toutes façons, ceux-là n’atteindront
jamais les véritables représentants de l’Orient traditionnel qui resteront hors
de leurs démarches ; de tels interprètes s’entendraient plus facilement avec
ceux qui leur ressemblent dans le monde oriental actuel, c’est-à-dire avec les
Orientaux occidentalisés et modernistes qui sont, contre leur propre
civilisation, des alliés de l’Occident moderne ; mais ces derniers n’auront
aucune qualité pour intervenir dans l’ordre profond des choses qui nous intéresse
ici, car ils seront eux-mêmes exclus de tout rôle représentatif, même pas dans
l’ordre le plus extérieur, quand s’effectuera le rétablissement des
civilisations orientales elles-mêmes sur leurs propres bases traditionnelles.
Et lorsqu’on s’apercevra ainsi de l’inanité de la politique suivie jusque-là,
il sera peut-être trop tard pour « en venir à ce par quoi on aurait dû
normalement commencer, c’est-à-dire à envisager l’accord sur les principes ».
Cet accord-là pourrait se faire du coté de l’Occident
par une élite qui aura été obligée de se constituer en dehors du cadre de
l’Eglise.
En effet, René Guénon a envisagé dès le début, ainsi
que nous le rappelions plus haut, l’éventualité que cette constitution se fit
en dehors de tout support offert par une organisation existante, et en dehors
de tout milieu défini. (...)
Mais
dans ce cas, l’élite ayant à compter seulement « sur l’effort de ceux qui
seraient qualifiés par leur capacité intellectuelle, et aussi bien entendu, sur
l’appui de l’Orient, son travail en serait rendu plus difficile et son action
ne pourrait s’exercer qu’à plus longue échéance puisqu’elle aurait a créer
elle-même tous les instruments » (La Crise du Monde moderne, pp.
130-131). Sur la façon dont pouvait se faire une telle constitution, Guénon n’a
jamais donné beaucoup de précisions. (...)
Mais, on peut se demander, que peut signifier
exactement une telle constitution ?
Cette question se pose même sous la forme d’une
certaine difficulté : étant donné, d’une part, que, selon les précisions de
Guénon, par « constitution de l’élite » il faut comprendre, non pas une simple
formation doctrinale, mais une réalisation effective dans l’ordre de la
connaissance initiatique et métaphysique, et étant entendu, d’autre part, que
toute réalisation de ce genre implique une initiation et la pratique de
certains moyens qui doivent avoir une origine traditionnelle, comment peut-on
concevoir qu’une élite se constitue effectivement, sous tous les rapports, sans
qu’elle prenne son point d’appui dans une organisation existante ?
Pour répondre à cette question nous dirons, tout
d’abord, que pour nous, indubitablement, tout le travail effectif devait
commencer par une initiation et par des moyens appropriés.
Mais y a-t-il vraiment quelque autre possibilité
initiatique en dehors des deux précédemment mentionnées ?
Nous répondrons : oui.
Il reste encore la possibilité qu’une initiation
proprement occidentale, mais n’existant plus en Occident, se réactualise dans
un milieu intellectuel propice, avec des moyens appropriés. Quelle serait cette
initiation, et où se trouverait-elle ?
Ce ne pourrait être que l’ancienne initiation
régulière et effective de l’Occident traditionnel retirée depuis longtemps, là
où se retire toute initiation qui n’a plus la possibilité de se maintenir dans
son milieu normal, lorsque les conditions cycliques lui sont défavorables.
Ajoutons encore, pour mieux rendre compte de l’état spécial de l’Occident,
qu’une telle retraite, quand elle concerne la forme initiatique fondamentale
d’une tradition, coïncide avec la retraite du centre spirituel de cette
tradition, et se fait vers le point d’origine de tout centre d’une tradition
particulière, c’est-à-dire, vers le centre spirituel suprême, où elle reste
alors à l’état latent et d’où elle peut se remanifester quelquefois quand les
conditions cycliques le lui permettent.
Ces remanifestations sont facilitées, dans une
certaine mesure, par la présence, dans le milieu traditionnel abandonné
d’organisations initiatiques d’importance secondaire qui ont surtout le rôle de
maintenir une continuité de la transmission initiatique, et relier, de loin,
leurs membres, sans même qu’ils en aient conscience, à l’influence du centre
retiré. C’est pour cela, d’ailleurs, que la première méthode à envisager pour
la constitution de l’élite occidentale, était celle qui prenait un point
d’appui dans une organisation existante.
Mais quand, pour diverses raisons, une réactualisation
n’est plus possible dans le cadre des organisations existantes, alors que des
conditions essentielles se trouvent remplies dans un milieu non défini, une
remanifestation peut se produire, à l’égard de ce dernier ou de certaines
individualités « qualifiées », et alors l’initiation nécessaire et les moyens
correspondants peuvent réapparaître. Toutefois, dans ce cas, l’initiation et
les moyens du travail de réalisation présenteraient des modalités relativement
nouvelles, liées plus spécialement aux qualifications du milieu de
réactualisation ; c’est d’ailleurs, à travers ces qualifications, et à leur
mesure, que seraient élaborés les instruments de travail qui apparaîtraient
ainsi successivement, comme une sorte de création due à l’élite elle-même,
selon les opportunités du développement effectif de celle-ci. Cette
possibilité, si difficilement réalisable, nous semble devoir être incluse dans
ce que Guénon avait en vue par l’idée d’une constitution de l’élite occidentale
en dehors du point d’appui dans une organisation existante et de tout milieu
défini. (...)
Il nous faut dire maintenant qu’il y a eu aussi
quelquefois des solutions d’un caractère moins régulier, ce qui s’explique par
le fait qu’elles ne procédaient pas des indications doctrinales et autres,
données par l’enseignement de Guénon.
Tel est le cas de ceux qui, parfois en dehors même de
toute connaissance de cet enseignement, se sont rattachés à des organisations
ayant leur point de départ dans l’Orient mais que René Guénon déclarait
dépourvues des conditions de régularité traditionnelle, et qui se montraient,
du reste, entachées de modernisme.
Nous n’entrerons pas dans le procès de ces
organisations, mais nous ferons seulement quelques remarques d’ensemble qui
dépassent d’ailleurs ce cas spécial, puisqu’elles correspondent à des
constatations que l’on a pu faire même dans certains cas où il n’y avait aucune
difficulté sous le rapport de la régularité essentielle du rattachement. Deux
sortes de déviations de perspective traditionnelle s’accusent généralement chez
ceux qui n’ont pas connu ou ne se sont pas assimilé suffisamment l’enseignement
de René Guénon, et n’ont pas compris par conséquent dans quelles conditions une
réalisation véritable pouvait être entreprise par des Occidentaux, qu’il
s’agisse d’ailleurs de ceux qui se sont rattachés, d’une façon illusoire ou
régulière, à des organisations orientales, ou encore de ceux qui sont restés
sans aucun rattachement : nous les
appellerons la déviation « absolutiste » et la déviation « universaliste ».
La première se définit par la volonté d’atteindre à
une réalisation, et même à la Connaissance Suprême, en dehors des conditions
normales d’une méthode et de telle forme traditionnelle, par une simple
participation à la technique strictement intellectuelle de la voie respective.
La deuxième se définit par la négligence de la règle
d’homogénéité spirituelle entre la modalité initiatique d’ensemble à laquelle
on veut participer, et la forme traditionnelle pratiquée, ou encore par
l’illusion d’une méthode unique applicable indifféremment à des formes
traditionnelles diverses, et même en dehors de l’existence d’un rattachement
initiatique.
Les diverses formes de
ces déviations, qui quelquefois se combinent entre elles d’étrange façon,
procèdent toutes d’une ignorance de la relation qui doit exister entre la
nature des influences spirituelles agissant dans l’initiation, les moyens de
réalisation correspondants, et les qualifications des êtres humains.
Cette ignorance est
presque toujours alliée avec l’orgueil et la suffisance caractéristiques de
l’individualisme moderne, et aussi avec la prétention d’adapter l’enseignement
et la technique traditionnelle aux exigences des nouveaux temps !
Pour les intellectuels affligés de ces défauts
spirituels, l’enseignement et la discipline initiatiques d’une forme
traditionnelle sont des choses inactuelles, soit parce qu’ils les trouvent
gênantes pour la vie ordinaire, soit parce que, tout simplement, ils les
ignorent.
Ceux-ci traiteront donc
volontiers de « ritualisme » la pratique des moyens sacrés d’ensemble, soit en
considérant qu’elle n’est pas nécessaire dans leur cas personnel (et alors on
est étonné de voir combien se croient dans le même cas) soit en préférant en
cet ordre des combinaisons artificielles de leur propre cru, qui relèvent du «
syncrétisme » ou du « mélange des formes traditionnelles ».
En reprenant dans un sens plus général certains
jugements de Guénon, nous dirons donc que ces choses, qu’on constate de
différents cotés, sont plus graves quand elles se produisent dans des
organisations initiatiques régulières que lorsqu’elles sont le fait de gens
qui, en somme, n’agissent que pour leur propre compte et n’ont rien
d’authentique à transmettre. Enfin un trait caractéristique et significatif de
ces écoles est leur hostilité, soit déclarée soit dissimulée, à la fonction et
à l’enseignement de Guénon.
Il est à craindre maintenant qu’avec sa disparition,
ces diverses irrégularités ne s’accentuent encore, car sa présence exerçait un
certain effet de censure même chez ceux qui n’étaient pas en accord avec
l’ensemble de son enseignement. (...)
Mais
l’œuvre intellectuelle laissée par Guénon maintiendra sa présence, de même que
tout ce qui a été conçu sous son inspiration poursuivra l’orientation initiale
donnée par lui. Son œuvre commence même à être connue et comprise dans certains
milieux d’Orient, là où les intellectuels qui ont fait l’expérience de
l’actuelle civilisation occidentale et des doctrines profanes, et en ont
éprouvé toutes les conséquences, en eux-mêmes et autour d’eux, n’ont pas
d’autre moyen de reprendre contact avec l’esprit traditionnel qu’à travers un
enseignement qui constitue à la fois une critique efficace de l’esprit moderne
et une formulation intelligible des vérités immuables de la tradition.
D’autre part, ceux qui, en Occident, constituent, par
leur rattachement oriental, ce que Guénon appelait « un prolongement des élites
orientales qui pourrait devenir un trait d’union entre celles-ci et l’élite
occidentale le jour où cette dernière serait arrivée à se constituer », sont
d’une façon naturelle une raison de ne pas abandonner l’espoir d’une entente de l’Occident avec les forces salutaires de
l’Orient traditionnel.
Mais dans les conditions d’existence d’une époque
pleine de toutes sortes d’illusions et de dangers, cet espoir reste fondé sur la fidélité parfaite de tous les côtés à
l’enseignement de celui qui fut et sera la « Boussole infaillible » et la «
Cuirasse impénétrable ».
Tous ceux qui participent de la sagesse traditionnelle
et de l’esprit de véritable réconciliation divine du monde, rencontreront
certainement la même incompréhension que leur grand prédécesseur, et seront
aussi l’objet de la même hostilité, ou d’une plus grande encore, que celle qu’a
éprouvée le Témoin de la Vérité Unique et Universelle, mais c’est à eux que,
dans l’ordre des implications humaines, on recourra finalement pour trouver une
intercession qui, par delà les erreurs et les iniquités d’un monde qui
s’engouffre dans son propre chaos, doit ouvrir les portes de la Lumière et de
la Paix.
M.
VÂLSAN.
Puisse donc être crée un véritable "Christisme". Qui Saura sans doute réunir les Livres.
RépondreSupprimerOui zul !
SupprimerUn ultime rappel, une dernière Miséricorde nous sera offerte, de cela je suis sure... :-)
bonjour ma très chère. j ài eu des pro blemes de connexion ses dernieres 2 semaines. jet avais envoyé 2 commentaires. 1 sur les indes de formz et l hypercube ou tesseract que je te conseillais de regader car ca ppurrait expliquer symboles et monumets notamment l arc de la Defense exemple classique de hypercube
RépondreSupprimerl autre sur la religion : quand tu lis la Wicca tu verras que toute religion s appuie sur les dates des rituels nordiques et ou egyptiens. les cathis reprennent la celebration de la superbe deesse Ostera Estroe pour celebrer les Paques. ils inversent la renassace de Ostera le printemps et son equinoxe avec la celebration du Christ.... vu que j aime profondement l ancién jeme suis regalee avec la serie American Gods que je trouve magistràle à mon gout. je t embrasse fort princesse.Tara
RépondreSupprimer@Tara : euh... De ce que j'ai pu trouver, ce mouvement religieux me parait complètement déviant. :-(
SupprimerCe qui est étrange c'est que j'ai prévu de publier aujourd'hui un texte sur le chamanisme....