mercredi 21 juin 2017

Le Message du Graal de Abdrushin à propos de la fin des temps




Le Message du Graal, « Dans la Lumière de la Vérité », est une œuvre de Abd-ru-shin, écrivain allemand dont le nom civil était Oskar Ernst Bernhardt (1875-1941). C'est une œuvre orientée vers la philosophie, la spiritualité, la religion et l'ésotérisme.



Abd-ru-shin décrit et explique l'activité des "lois divines" ou "lois naturelles", qui sont l'expression de la Volonté Créatrice de Dieu et qui régissent l'ensemble de ce qui est visible et invisible dans la Création tout entière.

Au sein de cette vue d'ensemble globale, qui porte en elle une nouvelle conception du Monde, il éclaire les questions portant sur l'origine et l'essence de l'être humain, ses devoirs, ses droits et ses aides dans la Création, son rôle, le sens et le but de son existence.

Il enseigne la réalité du "libre arbitre", libre faculté de résolution de l'être humain, et incite à la "responsabilité individuelle", qui en est la conséquence logique.

Il affirme dans son œuvre ne pas apporter une nouvelle religion, tandis qu’il écrit que la vraie foi repose uniquement dans la conviction et que cette conviction ne vient que par un soupeser et un examiner sans égards. Se déclarant indépendant de toute influence, il exhorte le chercheur et lecteur à exercer rigoureusement son jugement personnel au cours de sa quête spirituelle.

Source : Wikipedia



"C’est ainsi que vint, sous l’apparence d’un Prince des plus puissants peuples voisins des Égyptiens, l’Envoyé de Dieu surTerre pour le Jugement divin.
Comme Prince des Arabes, Il portait le nom de Abdruschin ayant le sens synonyme de Fils du Saint-Esprit."


Oskar Ernst Bernhardt (1875-1941)


Une dernière parole


Prends garde, esprit humain, car ton heure est venue! Tu n’as utilisé que pour le sacrilège, le temps qui t’est accordé pour l’évolution à laquelle tu aspirais ardemment!

Prends garde à la présomption si téméraire de ton intellect qui te précipita dans les bras des ténèbres qui, aujourd’hui, enfoncent triomphalement leurs griffes sur toi! Avec ton propre vouloir!

Lève ton regard! Ton Seigneur est proche! Tu es dans le Jugement divin!

Humanité, réveille-toi de la stupidité, de l’ivresse paralysante qui t’entoure déjà d’un sommeil de mort. Réveille-toi et tremble d’effroi. J’appelle le malheur sur vous! Vous, les renégats qui, dans votre étroitesse et votre mesquinerie, adulez le veau d’or de l’éphémère terrestre, attirés tels les papillons par un faux éclat. C’est à cause de vous que Moïse détruisit jadis, dans la colère de la déception, ces tables de la Loi de votre Dieu qui devaient vous aider à monter vers la Lumière. Cette destruction fut le vivant symbole montrant que l’humanité entière ne méritait pas d’avoir connaissance de la Volonté de Dieu, de cette Volonté qu’elle repoussait par sa conduite frivole et sa présomption terrestre, pour danser autour d’une idole forgée par elle-même et s’adonner ainsi à ses propres désirs! Maintenant arrive la fin dans l’ultime répercussion, dans les conséquences, dans la sanction! Car c’est vous qui allez désormais vous briser contre cette Volonté que vous avez jadis rejetée avec tant de légèreté.

C’est pourquoi, réveillez-vous, le Jugement est sur vous! À présent, les plaintes, les supplications ne servent plus à rien, car pendant des millénaires vous avez eu le temps de réfléchir! Mais vous n’avez jamais pris le temps de le faire! Vous ne le vouliez pas et encore aujourd’hui, dans votre incorrigible présomption, vous vous croyez beaucoup trop sages. Que ce soit précisément là que se montre la plus grande stupidité, vous ne voulez pas le reconnaître. Ainsi, vous êtes devenus dans ce monde une vermine indésirable qui ne sait plus rien d’autre qu’outrager obstinément toute Lumière, car dans votre persistance à ne fouiller que dans les ténèbres, vous avez perdu toute possibilité de lever librement votre regard durant votre recherche, de reconnaître la Lumière ou de La supporter.

Ainsi, vous vous êtes, désormais, marqués vous-mêmes!

Dès que la Lumière rayonnera de nouveau, aveuglés, vous reculerez en titubant, et vous sombrerez alors sans espoir de salut dans l’abîme qui dès maintenant s’est ouvert derrière vous pour engloutir les réprouvés!

Vous devez y être enchaînés dans une étreinte dont vous ne pourrez vous libérer, afin qu’à présent tous ceux qui s’efforcent d’aspirer vers la Lumière, trouvent le chemin qui mène vers Elle, en une reconnaissance empreinte de félicité, un chemin libre de votre prétention et de votre désir d’accepter le clinquant à la place de l’or pur! Sombrez donc dans cette horreur mortelle que vous vous êtes vous-mêmes préparée par vos efforts les plus acharnés. À l’avenir, vous ne devez plus pouvoir troubler la Vérité divine!

Comme ils s’empressent, ces fous humains, de pousser au premier plan leur pseudo science ridicule et comme ils troublent ainsi tant d’âmes qui pourraient être sauvées, si elles n’étaient pas la proie des charlatans spirituels qui, semblables à des voleurs de grand chemin, rôdent encore durant la première étape, autour du bon sentier, poursuivant en apparence la même direction. Mais qu’offrent-ils en réalité? Avec de grands gestes et des expressions répétées, fiers et arrogants, ils se réclament de traditions dont ils n’ont jamais compris le vrai sens.

Le langage populaire dit bien d’eux: ils battent de la paille vide! Vide parce qu’ils n’ont pas su ramasser à temps le bon grain pour lequel ils leur manquent la compréhension. Il nous faut rencontrer partout une telle étroitesse de vue; avec un entêtement stupide, elle s’appuie sur les idées d’autrui, parce qu’elle n’a elle-même rien à donner.

Ils sont des milliers à en faire partie et encore des milliers qui s’imaginent posséder seuls la véritable foi! Remplis d’humilité, et avec une satisfaction intérieure, ils mettent en garde contre l’orgueil, dès l’instant où quelque chose dépasse leur compréhension! Ceux-là sont parmi les pires! Ceux-là précisément sont dès à présent réprouvés, parce que dans leur croyance obstinée, il ne sera plus jamais possible de les aider. L’épouvante, les plaintes, les suppliques ne serviront plus à rien, lorsqu’un jour, ils se rendront compte que c’était une erreur. Ils ne l’ont pas voulu autrement et ils ont perdu leur temps. Il ne faut pas pleurer pour eux. Chaque instant est beaucoup trop précieux pour qu’on puisse encore le gaspiller avec ces gens qui prétendent tout mieux savoir, car de toute façon, ils ne parviendront jamais plus à sortir de leur obstination pour se réveiller, au contraire, ils iront aveuglément vers leur perte malgré des paroles mielleuses rebutantes et des affirmations de leur foi en Dieu et de leur connaissance purement imaginaire du Christ!

Il n’en va pas autrement des foules de ceux qui s’acquittent de leurs obligations religieuses avec régularité et devoir, tout comme un autre travail nécessaire, utile et convenable! Ou encore par habitude, ou parce que c’est la «coutume». Peut-être aussi par prudence naïve, puisqu’on ne «peut tout de même pas savoir à quoi cela peut être bon en fin de compte». Elles disparaîtront comme un souffle dans le vent.

Là, les chercheurs sont plutôt à plaindre, qui, animés d’un réel et sincère esprit de recherche, omettent de se dégager encore de la broussaille qu’ils fouillent sans trêve, croyant y trouver un chemin qui remonte à l’origine de la Création. Cependant, tout cela ne sert à rien et ne trouve pas d’excuse! Aussi, ils sont peu nombreux, très peu nombreux. La majorité de ceux qui se disent chercheurs se perd dans d’insignifiants enfantillages.

Mais la plus grande partie du restant de l’humanité n’a pas le temps d’être à l’écoute d’elle-même. Ce sont apparemment des êtres humains de la terre très tourmentés, assez surchargés de travail pour obtenir la satisfaction des désirs terrestres, de leurs besoins quotidiens, mais finalement aussi de choses les dépassant largement. Ils ne remarquent pas que leurs désirs s’accroissent au fur et à mesure qu’ils sont satisfaits, de sorte qu’ils n’en voient jamais la fin; ainsi, celui qui aspire à tant de choses ne peut jamais trouver de repos, jamais le temps pour un réveil intérieur! Sans aucun but pour l’éternité, il se laisse harceler à travers son existence terrestre en esclave des convoitises terrestres.

Épuisé par cette activité, il doit finalement aussi soigner son corps par le repos, le changement, les distractions. Ainsi, il ne lui reste évidemment plus de temps pour le supraterrestre, pour le spirituel! Et si parfois une intuition monte doucement au sujet de ce qui adviendra «après la mort», il devient un peu songeur durant quelques instants, cependant il ne s’en laisse jamais émouvoir et réveiller, mais au contraire, il s’empresse de repousser brusquement toute pensée de ce genre, en se plaignant de ne pouvoir vraiment pas s’en occuper, même s’il le voulait réellement. Pour cela, le temps lui manque complètement.

Plus d’un voudrait même en voir la possibilité créée par d’autres. Il n’est pas rare non plus d’entendre des accusations contre le destin et des murmures contre Dieu! Pour tous ceux-là naturellement, toute parole est perdue, parce qu’ils n’ont jamais voulu reconnaître qu’il n’en tenait qu’à eux-mêmes de former cela autrement!

Seules les exigences terrestres, qui augmentent continuellement avec le succès, comptent pour eux. Ils n’ont jamais sincèrement désiré autre chose. Ils n’ont jamais cessé d’y opposer toutes sortes d’obstacles. Insouciants, ils ont repoussé cela à la cinquième ou à la sixième place et n’y pensent que dans une grande détresse ou au moment de mourir. Pour tous, même aujourd’hui, cela est demeuré une chose secondaire pour laquelle il y aura toujours assez de temps.

Et lorsque l’occasion nettement reconnaissable de s’en occuper sérieusement se présenta, de nouveaux désirs particuliers naquirent aussitôt, qui n’étaient rien d’autre que des prétextes tels que: «Je veux d’abord encore faire ceci et cela, alors j’y serai prêt volontiers.» Exactement comme le Christ l’avait dit jadis!

On ne trouve nulle part le sérieux qui est indispensable pour cette chose, la plus importante de toutes. Elle leur paraît trop éloignée. C’est pour cette raison qu’ils sont maintenant tous rejetés, tous! Pas un seul d’entre eux n’obtiendra l’entrée dans le Royaume de Dieu!

Ce sont des fruits pourris en regard de l’ascension qui ne font que continuer à répandre la pourriture autour d’eux. Réfléchissez maintenant vous-mêmes, qui alors peut encore subsister! Un triste tableau! Mais hélas, que trop vrai.

Et maintenant lorsque le Jugement aura maté les humains, alors ils s’agenouilleront bien vite dans la poussière! Cependant, vous pouvez dès maintenant vous représenter comment ils s’agenouilleront: d’une façon pitoyable et cependant en même temps encore prétentieux, à nouveau, car, là encore, seulement en se plaignant et en suppliant qu’on doive leur porter secours!

Le lourd fardeau dont ils se sont chargés et qui menace finalement de les écraser doit leur être enlevé! Telle est alors leur prière! Entendez-vous bien? Les prières sont pour l’éloignement des tourments, mais il n’y a pas une seule pensée concernant leur propre amendement intérieur! Pas un seul désir sincère en vue d’une transformation volontaire des fausses conceptions et des aspirations purement terrestres nourries jusqu’ici! Pas le moindre effort pour reconnaître et avouer courageusement les erreurs et les fautes passées.

Et lorsque le Fils de l’Homme marchera parmi eux, au cours de la grande détresse, alors toutes les mains se tendront certainement vers Lui en gémissant, en implorant, mais de nouveau dans le seul espoir qu’Il les aide selon leurs désirs, donc qu’Il mette fin à leurs tourments et les conduise vers une vie nouvelle!

Cependant, Il repoussera la plupart de ces quémandeurs comme une vermine empoisonnée! Car tous ceux qui supplient ainsi, aussitôt secourus, tomberaient dans toutes leurs anciennes fautes, et contamineraient leur entourage. Il n’acceptera que ceux qui Lui demanderont la force de pouvoir enfin se ressaisir en vue d’une amélioration durable, et qui s’efforceront avec humilité de rejeter toute l’obstination dont ils ont fait preuve jusqu’ici, pour saluer joyeusement la Parole de Vérité issue de la Lumière, comme la rédemption.

Le Fils de l’Homme! Déjà l’humanité veut, avec arrogance, qu’Il soit conforme à ses désirs et elle prétend L’évaluer d’après la critique de son intellect terrestre! Qu’elle osera s’approcher de Lui et perdre le temps en babillage sur leurs propres idées!

Insensés! C’est précisément cela qui vous infligera d’horribles blessures! Précisément pour cela vous serez les premiers à être réprouvés, parce que c’est de cette façon aussi que vous vous êtes présentés jadis en face du Fils de Dieu, Lequel, jusqu’à aujourd’hui, vous n’avez pas encore reconnu véritablement. À l’heure du Jugement, le Fils de l’Homme n’apporte pas des explications sur lesquelles vous pouvez encore échanger des opinions de longue haleine, mais dans Ses Paroles reposent des dispositions qui doivent être irrévocablement accomplies, si vous ne voulez pas périr!

C’est pour le moment la dernière Parole. Maintenant, l’expérience vécue témoignera de la Vérité de mon Message!

Dès le début, les esprits humains se sont placés sur un terrain faux. C’est pour cela qu’en moyenne tout ce qu’ils pensent ou font est maintenant faux ou déformé.

La compréhension du Message du Graal comme aussi avant lui le Message du Fils de Dieu, ne leur devient possible que si un esprit humain rejette de côté tout ce qu’il a édifié jusqu’à présent dans une compréhension imaginaire et recommence tout depuis le début. Il n’y a pas d’autre chemin! Ils doivent auparavant redevenir comme des enfants! Une guidance à partir des erreurs actuelles est impossible. Il faut qu’il y ait un renouveau total à partir de la base qui grandisse et se renforce par la simplicité et par l’humilité. Celui qui ne le peut pas ou ne le veut pas est complètement perdu avec les autres, sans espoir de salut.

Si les êtres humains étaient secourus comme ils le demandent à l’heure du danger et de la détresse, tout serait à nouveau vite oublié dès l’instant où la frayeur les aurait quittés. Sans scrupules, ils recommenceraient dans leur incompréhension à critiquer au lieu de réfléchir, et cela n’est plus admis lors du sauvetage! Le temps est maintenant passé.

Un tel gaspillage de temps est à l’avenir tout à fait impossible, car l’existence de cette partie cosmique doit se hâter vers sa fin. Pour chaque esprit humain, cela signifie désormais pour ou contre. Le sauvetage hors de la confusion volontairement causée ou y périr! Le choix est libre, cependant il ne peut pas être différé, mais il doit, au contraire, se faire tout de suite! Toutefois, les conséquences de la décision sont déterminées et immodifiables ! Une hésitation équivaut au choix du naufrage! Tout s’éteindra à l’exception du bien véritable, ce qui peut parvenir à la raison, mais ce qui passe pour être le bien aujourd’hui n’en fait pas partie.

Comme délivrés d’une énorme oppression, ceux qui seront sauvés reprendront alors leur souffle et se réjouiront après que les coups de glaive de la Lumière auront enfin repoussé à la place qui leur revient les répugnantes et malpropres ténèbres avec les créatures qui s’y sont volontairement accrochées.

Alors renaîtra une terre virginale purifiée de toutes les pensées pestilentielles et la paix fleurira pour tous les humains.

Message du Graal de Abdrushin, dans la Lumière de la Vérité, chapitre 89




7 commentaires:

  1. Je ne sais pas si Oskar Ernst Bernhardt et René Guénon se sont rencontrés d'ailleurs ? Je ne vois rien dans ce sens sur internet...

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  2. Bonjour Ligeia !

    Quel beau proverbe «  Les chiens aboient, la caravane passe. » ce qui revient à dire « Qui est sûr de sa voie, ne s'en laisse pas détourner par la désapprobation la plus bruyante ! »

    A condition d'avoir trouver cette voie et d'être sûr que c'est la bonne évidemment.

    Cette intuition dont nous parle Guénon peut nous y aider : <... l'intuition intellectuelle...>
    D'autres en parlent :

    Joachim de Flore l'appelait « intelligence spirituelle »... dans sa « Prophétie du règne du Saint-Esprit ». Vous trouverez tout renseignement utile il me semble dans le livre de Mr Hugo Saint-Hilaire "La Prophétie du Règne du Saint-Esprit de Joachim de Flore" lulu.com

    Moeller Van Den Bruck dans son livre « Le Troisième Reich » nous dit que "pour nous, qui ignorons notre destin, nous devons nous en remettre à notre volonté, nous en rapporter à notre courage, nous fier à notre inspiration. Car si nous parlons de (P)providence, c'est parce que nous ne pouvons pas prévoir nous-mêmes ce qui est prévu pour nous."
    Qu'est au juste cette « inspiration » à laquelle nous pouvons nous fier?

    Hitler -qui lui a pris le titre de son livre « Le Troisième Reich » pour en faire l'utilisation que l'on connaît ou du moins que l'on croit connaître d'ailleurs- parlait d'intuition cognitive.

    Et Wagner -à qui Hitler a nui aussi de par son admiration - écrit « Lorsque l’homme d’État désespère, que les bras tombent au politique découragé, que le socialiste s’acharne en vain à de stériles systèmes, que le philosophe même, incapable de prédire, en est réduit à de simples indications,puisque tout ce qui doit arriver consiste en phénomènes où la volonté n’est pour rien, et que personne ne saurait prévoir, c’est alors l’œil clair de l’artiste qui discerne les formes, évoquées par son aspiration vers ce qui est seul vrai, vers une humanité pleine et complète. » (1851, Opéra et drame, IV, 282)>

    Les expressions sont synonymes mais il s'agit toujours de la même notion : la compréhension
    intuitive dont nous parle Abdruschin dans le Message 1931 dont vous donnez le lien sur votre site (abdruschin.ca ). Il nous explique très précisément son fonctionnement pour que nous ne puissions plus être induit en erreur - ne plus confondre notre intuition et notre pensée venant de notre intellect. Car grâce à notre intuition nous accédons au véritable Savoir de la Création et nous ne sommes plus sujet au chaos et au désespoir. En cherchant intuitivement nous trouvons Ses Lois qui seules, si nous les observons, peuvent nous guider sûrement dans ce « grand moment » qui plonge certains dans le désarroi. (mots empruntés à la chanson « Le Livre du Temps » de Michel Sardou).
    Guénon n'a donc rien inventé... mais j'apprécie comme vous, apparemment, qu'il en parle!
    Que cette chanson populaire de Sardou, ou alors l'indicible puissance de l'Ouverture de Parsifal de Wagner vous aide dans votre quête de Vérité et vous apporte joie et paix!

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    1. @Dis moi : Bonjour, beaucoup de références dans votre comm !
      Réunir Joachim de Flore, Hitler et Sardou sur le Graal de Abdrushin il fallait le faire ! lol

      Guénon n'a certes rien inventé en effet car il a été initié et pas par n'importe qui... :-)

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  3. Salut Ligeia

    J'arrive un peu tard sur ce sujet que je ne vois qu'à l'instant...De part cette Œuvre,tu comprend mieux notre différent sur le terme employé concernant "l'intellect".
    Sache que du haut de mes quarante-huit balais,je n'ai rien lu de plus puissant si ce n'est les Livres Saint.En effet,les deux tomes que constitue la Parole sont incontournables.Celui ou celle ayant suffisamment de connaissances ésotériques ne pourront qu'appréciés et confirmés ces enseignements.

    Petit clin d'œil à F43 pour le "fils de l'homme".

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  4. Chtiote question pour toi L; as tu lu le Message en intégralité?

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    1. Salut zul,

      Pas de soucis pour "l'intellect"... :-)

      Niveau puissance, rien n'égale Guénon pour moi et sur les textes que je comprends ! ;-)

      Non, j'avais poussé un peu à l'époque mais je n'étais pas d'accord avec tout ce qui est dit...

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  5. Re Ligeia,

    Beaucoup de choses s'éclaircissent dans le tome deux, c'est pourquoi je t'ai posé la question (ainsi qu'à Ror,qui m'as répondu sensiblement la même chose...).Dommage...

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