Voici le début d’une longue série consacrée au livre « La
crise du monde moderne ».
C’est le premier ouvrage de René Guénon que j’ai découvert
et il me semble d’un abord plus « facile » que d’autres pour
découvrir ce Maître et son Enseignement.
Certains me
reprochent de faire des copier-coller des textes de RG.
Je leur
réponds : qu’est ce qui est irréfutable ? Mon interprétation ou
celle de celui qu’on appelle " la boussole infaillible" ?
Mon
opinion n’a aucune valeur. Ceux qui
veulent reformuler ses dires s’exposent à en réduire la portée voire à les
déformer et égarer ainsi ceux qui les écoutent.
Guénon SAVAIT. Le reste n'est que les rêveries de ceux qui s'auto-illusionnent sur leur "hauteur".
C’est
pourquoi je ne m’aventurerai pas à le paraphraser sous prétexte de laisser « ma
trace ». L'interprétation humaine, aussi prudente soit-elle, restera toujours
sujette aux erreurs. J’aiderai si je peux, mais gardez cela en mémoire.
C’est donc sur le texte qu’il faut méditer car lui seul est
irréfutable tout comme Guénon quand il expose les doctrines traditionnelles.
Il
n’est pas simplement une « référence doctrinale majeure », ce à quoi certains voudraient le réduire, c’est une autorité
infaillible étant chargé d'une fonction d'ordre ésotérique.
Il énonce un
cheminement qui éclaire la voie, un porte-parole, mais en aucun cas «l’innovateur »
d’une voie nouvelle.
« La seule qualité qu’il ait accepté de revêtir fut
celle d’un "serviteur de la Vérité". » CA. Gilis.
Vincit Omnia Veritas.
Pour l'acheter : http://www.leturbannoir.com/livres-2/la-crise-du-monde-moderne