Je vous offre une petite pause "survivaliste"...
Car s'il est dit : "Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne", il est vrai aussi que c'est Dieu qui nous a offert la "vie" et que le fait de rester vivant nous permettra peut-être d'aider d'autres personnes.
Aimer son prochain n'a jamais signifié selon moi, "laisse toi massacrer sans répondre" mais bien au contraire, défends et protège ton prochain contre notamment les "forces du Mal" qui l'inciteront au reniement.
Je n'attends pas qu'Il m'enlève au "Ciel" et me dispense des tribulations... Je souhaiterais pouvoir au contraire les subir entièrement (en ayant la force de résister si Dieu veut) pour combattre Ses ennemis et ainsi, protéger également les Elus indirectement.
On verra... A Dieu vat !
Article lu sur le blog de Pierre Templar : http://survivreauchaos.blogspot.fr/2015/08/la-psychologie-de-la-survie.html
Je vous conseille également de lire à la suite cet autre article de Pierre que Ror avait aussi transmis...
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Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi lors de désastres ou de situations de crise, lorsque les gens font tous face aux mêmes circonstances, il y en a qui passent le cap, tandis que d'autres se font griller ?
Les compétences et le niveau de préparation sont bien sûr des raisons, mais pas autant que l'attitude mentale ! Une mentalité de survivant peut souvent faire la différence entre la vie et la mort.
Il y a un temps pour tout et un moment pour toute chose sous le ciel ; Un temps pour être gentil, et un temps pour être méchant...
De la victime à la victoire
Lorsque vous êtes pris au milieu des emmerdes et que vous voulez en sortir vivant, il faut que vous soyez méchant. Peu importe que ces emmerdes soient la conséquence d'une guerre civile, d'un tremblement de terre, ou d'une foule de zombies cognant à votre porte ; La vérité est que c'est bien souvent le "fils de p*te" le plus coriace qui va se retrouver en tête de liste des survivants.
Avant de voir mes propos mal interprétés, une claire distinction doit être faite entre le dur à cuire et l'abruti. Le vrai dur n'est pas quelqu'un qui porte du cuir et des chaines ou arbore une panoplie de tatouages, juste pour impressionner la galerie. Un dur à cuire n'est pas un tyran. Un dur à cuire ne casse rien, et ne met pas le feu aux poubelles ou aux voitures juste pour s'amuser ; Ce n'est pas non plus quelqu'un qui se bat uniquement parce qu'il aime ça. Toutes ces choses sont l'expression du looser en manque de reconnaissance et de l'idiot.
Être dur est tout à fait différent. Un vrai dur sait qu'il (ou elle) est méchant, et n'a aucunement besoin de le prouver à qui que ce soit.
Un vrai dur à cuire ne laisse jamais tomber. Jamais. Les vrais durs iront toujours jusqu'au bout d'eux-mêmes, peu importe la tournure que prennent les événements.
Un dur à cuire peut être votre meilleur ami, ou votre pire ennemi ; Il ne profitera pas des faibles, et sera toujours bon et généreux envers ceux qui le méritent.
Les vrais durs à cuire feront ce qu'il faut pour survivre, tout en connaissant leurs limites. Ce ne sont pas des branleurs à la petite semaine ; Ils et elles savent qu'ils sont aussi durs que des clous, mais que si vous brûlez leur voiture ou leur crachez dessus, alors vous mourrez très probablement, aussi vrai que si vous sautiez du dernier étage d'un immeuble.
Un dur à cuire ne cherche pas à se faire des ennemis, ni provoquer la bagarre. Un dur à cuire sait que la manière la plus facile de gagner un combat est de l'éviter. Un dur à cuire ne porte jamais le premier coup, mais en revanche, il portera toujours le dernier.
Sans doute que la majorité des hommes des troupes d'élite sont de vrais durs. Mais j'ai aussi connu des grands-mères de 79 ans qui l'étaient autant. Tout est dans l'attitude.
La préparation mentale en vue de faire face à une crise est aussi importante que n'importe quelle pièce d'équipement, compétence ou technique décrite dans les manuels de survie. Il y a une ou deux générations de cela, être prêt signifiait bien davantage que de connaître les bases du camping ; C'était un style de vie. Nos grands-parents savaient qu'il était raisonnable de s'attendre à l'inattendu, et de s'y préparer. Aujourd'hui, vos amis et votre famille vous prendront sans doute pour un fou si leur parlez du besoin d'avoir des réserves, ainsi qu'un plan pour les urgences.
La raison est que les nouvelles générations ne sont devenues qu'une bande complaisante de pleurnichards. Nous avons bénéficié d'un progrès technique continu rendant la vie plus facile, et profité de longues périodes de relative aisance financière. Sans doute rares sont ceux d'entre vous, ou de vos voisins, qui ont quelque problème d'approvisionnement en denrées ou services essentiels. On regarde les gros titres - un désastre terrible au Japon ou en Haïti - et on se dit que c'est bien triste ; Mais aussi, quelque part, que cela ne peut pas nous arriver. Or tout cela peut parfaitement arriver. Et plus vite on s'y prépare en esprit, plus vite on sera capable de le faire dans tous les autres aspects.
Vous avez tous sûrement entendu parler d'aventures de survie incroyables ; Par exemple celle vécue par les membres de l'équipe de rugby d'Uruguay crashée dans les Andes en 1972, et de ce qu'ils furent obligés de faire pour survivre. On a même tiré des films de certaines. Mais de la même manière qu'il n'est pas besoin d'un désastre majeur pour se retrouver en situation désespérée, toutes les histoires de survie ne deviennent pas des gros titres. Il en existe des centaines, des milliers, qui arrivent chaque jour à travers le monde.
Lorsque vous êtes pris au milieu des emmerdes et que vous voulez en sortir vivant, il faut que vous soyez méchant. Peu importe que ces emmerdes soient la conséquence d'une guerre civile, d'un tremblement de terre, ou d'une foule de zombies cognant à votre porte ; La vérité est que c'est bien souvent le "fils de p*te" le plus coriace qui va se retrouver en tête de liste des survivants.
Avant de voir mes propos mal interprétés, une claire distinction doit être faite entre le dur à cuire et l'abruti. Le vrai dur n'est pas quelqu'un qui porte du cuir et des chaines ou arbore une panoplie de tatouages, juste pour impressionner la galerie. Un dur à cuire n'est pas un tyran. Un dur à cuire ne casse rien, et ne met pas le feu aux poubelles ou aux voitures juste pour s'amuser ; Ce n'est pas non plus quelqu'un qui se bat uniquement parce qu'il aime ça. Toutes ces choses sont l'expression du looser en manque de reconnaissance et de l'idiot.
Être dur est tout à fait différent. Un vrai dur sait qu'il (ou elle) est méchant, et n'a aucunement besoin de le prouver à qui que ce soit.
Un vrai dur à cuire ne laisse jamais tomber. Jamais. Les vrais durs iront toujours jusqu'au bout d'eux-mêmes, peu importe la tournure que prennent les événements.
Un dur à cuire peut être votre meilleur ami, ou votre pire ennemi ; Il ne profitera pas des faibles, et sera toujours bon et généreux envers ceux qui le méritent.
Les vrais durs à cuire feront ce qu'il faut pour survivre, tout en connaissant leurs limites. Ce ne sont pas des branleurs à la petite semaine ; Ils et elles savent qu'ils sont aussi durs que des clous, mais que si vous brûlez leur voiture ou leur crachez dessus, alors vous mourrez très probablement, aussi vrai que si vous sautiez du dernier étage d'un immeuble.
Un dur à cuire ne cherche pas à se faire des ennemis, ni provoquer la bagarre. Un dur à cuire sait que la manière la plus facile de gagner un combat est de l'éviter. Un dur à cuire ne porte jamais le premier coup, mais en revanche, il portera toujours le dernier.
Sans doute que la majorité des hommes des troupes d'élite sont de vrais durs. Mais j'ai aussi connu des grands-mères de 79 ans qui l'étaient autant. Tout est dans l'attitude.
La préparation mentale en vue de faire face à une crise est aussi importante que n'importe quelle pièce d'équipement, compétence ou technique décrite dans les manuels de survie. Il y a une ou deux générations de cela, être prêt signifiait bien davantage que de connaître les bases du camping ; C'était un style de vie. Nos grands-parents savaient qu'il était raisonnable de s'attendre à l'inattendu, et de s'y préparer. Aujourd'hui, vos amis et votre famille vous prendront sans doute pour un fou si leur parlez du besoin d'avoir des réserves, ainsi qu'un plan pour les urgences.
La raison est que les nouvelles générations ne sont devenues qu'une bande complaisante de pleurnichards. Nous avons bénéficié d'un progrès technique continu rendant la vie plus facile, et profité de longues périodes de relative aisance financière. Sans doute rares sont ceux d'entre vous, ou de vos voisins, qui ont quelque problème d'approvisionnement en denrées ou services essentiels. On regarde les gros titres - un désastre terrible au Japon ou en Haïti - et on se dit que c'est bien triste ; Mais aussi, quelque part, que cela ne peut pas nous arriver. Or tout cela peut parfaitement arriver. Et plus vite on s'y prépare en esprit, plus vite on sera capable de le faire dans tous les autres aspects.
Vous avez tous sûrement entendu parler d'aventures de survie incroyables ; Par exemple celle vécue par les membres de l'équipe de rugby d'Uruguay crashée dans les Andes en 1972, et de ce qu'ils furent obligés de faire pour survivre. On a même tiré des films de certaines. Mais de la même manière qu'il n'est pas besoin d'un désastre majeur pour se retrouver en situation désespérée, toutes les histoires de survie ne deviennent pas des gros titres. Il en existe des centaines, des milliers, qui arrivent chaque jour à travers le monde.
Comme cette grand-mère de 62 ans qui en 2009 a survécu 11 jours sans manger au fond d’un ravin après s’être perdue dans les Pyrénées espagnoles. Teresa Bordais a été retrouvée pratiquement indemne malgré le fait qu'elle n'ait rien ingurgité pendant plus de 10 jours. Elle a expliqué aux sauveteurs qu’elle avait réussi à siroter de l’eau et avait observé les oiseaux dans la façon de se nourrir pour manger ensuite quelques feuilles d’arbustes.
Ou encore ce grand-père armé de 71 ans qui aux Etats-Unis a descendu deux malfrats dans leur camionnette après que ceux-ci aient attaqué le café internet où le vieux monsieur dégustait sa tasse de café.
Que leur histoire devienne ou pas légendaire, ces personnes avaient toutes en commun la détermination, la volonté de ne pas être une victime. Elles se sont toutes dites en elles-mêmes, jusqu'à le crier haut et fort : JE NE VEUX PAS MOURIR AUJOURD'HUI.
Et cela a plus à voir avec l'attitude qu'avec un quelconque entraînement qu'elles auraient pu suivre, ou n'importe quel équipement qu'elles auraient pu avoir en leur possession.
La Survie est un état d'esprit ; Votre esprit est votre outil de survie le plus puissant !
Ce n'est pas toujours la personne qui a les plus grandes aptitudes physiques qui est la mieux placée pour affronter une urgence, et qui va y survivre. Dans une telle éventualité, être capable de penser clairement est une force encore plus grande. Et cela est valable pour n'importe quelle situation extrême, que ce soit après un désastre naturel, ou face à des gangs de rue. Savoir garder la tête froide est la clé.
Il a été prouvé à maintes et maintes reprises combien le mental et l'émotionnel sont plus importants que le physique dans les situations de survie. Vous pouvez posséder la force d'un champion olympique et les meilleurs équipements du marché, mais ils vous seront inutiles si vous laissez la peur et le stress vous envahir - ou si vous sombrez dans le désespoir ou la négativité.
Survivre, c'est résoudre des problèmes, et cela signifie ÊTRE CAPABLE DE PENSER !
Vous devez être capable de reconnaître les périls qui vous menacent, déterminer leur priorité, ainsi que leur dangerosité. Puis vous devez être capable de mener les actions nécessaires à vous garder en vie. C'est un fait physiologique avéré que lorsque vous êtes calme, votre cerveau peut alors analyser les informations de manière plus efficace, et résoudre les problèmes d'une manière aussi plus efficace - C'est ce que signifie "penser clairement".
Dans un entraînement tactique, on va vous apprendre que le stress peut vous inspirer pour mener à bien certaines opérations, et vous aider à le faire à votre plus haut niveau de pratique. Mais on vous dira aussi que le stress peut amener le meilleur soldat à paniquer et oublier tout son entraînement.
La clé de votre propre survie réside dans votre capacité à gérer le stress que vous allez forcément rencontrer dans une situation d'urgence. Vous êtes un survivant lorsque vous travaillez avec le stress, au lieu de laisser le stress travailler contre vous. Dans une vraie situation de survie, les plus grands ennemis sont la peur et la panique. Ces deux émotions amènent à réagir en fonction de ses sentiments et de son imagination, au lieu des réalités de la situation. Si vous ne parvenez pas à les contrôler, elles peuvent détruire votre capacité à prendre des décisions intelligentes.
On enseigne aux Forces Spéciales à bannir la peur et la panique au moyen d'un entraînement approprié, et de confiance en soi. Mais il n'est pas besoin de suivre une formation militaire pour arriver à accomplir une telle chose. Ce dont vous avez besoin, c'est d'un entraînement basique aux techniques de défense et de survie, mais surtout, de la confiance qui vient du fait de savoir que votre vie peut être en danger, et quoi faire le cas échéant.
Lorsque vous vous préparez en vue d'un désastre, gardez toujours à l'esprit qu'il n'est pas besoin que celui-ci soit une catastrophe majeure ou un tremblement de terre pour que l'on se retrouve rapidement dans une situation d'urgence. Comme le dit le dicton d'outre-Atlantique, "Shit Happens" (la merde, ça arrive...) ; Une coupure d'électricité, un caprice climatique, une panne de voiture - voire un chemin pris à la place d'un autre - et vous pouvez alors vous retrouver dans un environnement dangereux ou inconnu.
Ou encore ce grand-père armé de 71 ans qui aux Etats-Unis a descendu deux malfrats dans leur camionnette après que ceux-ci aient attaqué le café internet où le vieux monsieur dégustait sa tasse de café.
Que leur histoire devienne ou pas légendaire, ces personnes avaient toutes en commun la détermination, la volonté de ne pas être une victime. Elles se sont toutes dites en elles-mêmes, jusqu'à le crier haut et fort : JE NE VEUX PAS MOURIR AUJOURD'HUI.
Et cela a plus à voir avec l'attitude qu'avec un quelconque entraînement qu'elles auraient pu suivre, ou n'importe quel équipement qu'elles auraient pu avoir en leur possession.
La Survie est un état d'esprit ; Votre esprit est votre outil de survie le plus puissant !
Ce n'est pas toujours la personne qui a les plus grandes aptitudes physiques qui est la mieux placée pour affronter une urgence, et qui va y survivre. Dans une telle éventualité, être capable de penser clairement est une force encore plus grande. Et cela est valable pour n'importe quelle situation extrême, que ce soit après un désastre naturel, ou face à des gangs de rue. Savoir garder la tête froide est la clé.
Il a été prouvé à maintes et maintes reprises combien le mental et l'émotionnel sont plus importants que le physique dans les situations de survie. Vous pouvez posséder la force d'un champion olympique et les meilleurs équipements du marché, mais ils vous seront inutiles si vous laissez la peur et le stress vous envahir - ou si vous sombrez dans le désespoir ou la négativité.
Survivre, c'est résoudre des problèmes, et cela signifie ÊTRE CAPABLE DE PENSER !
Vous devez être capable de reconnaître les périls qui vous menacent, déterminer leur priorité, ainsi que leur dangerosité. Puis vous devez être capable de mener les actions nécessaires à vous garder en vie. C'est un fait physiologique avéré que lorsque vous êtes calme, votre cerveau peut alors analyser les informations de manière plus efficace, et résoudre les problèmes d'une manière aussi plus efficace - C'est ce que signifie "penser clairement".
Dans un entraînement tactique, on va vous apprendre que le stress peut vous inspirer pour mener à bien certaines opérations, et vous aider à le faire à votre plus haut niveau de pratique. Mais on vous dira aussi que le stress peut amener le meilleur soldat à paniquer et oublier tout son entraînement.
La clé de votre propre survie réside dans votre capacité à gérer le stress que vous allez forcément rencontrer dans une situation d'urgence. Vous êtes un survivant lorsque vous travaillez avec le stress, au lieu de laisser le stress travailler contre vous. Dans une vraie situation de survie, les plus grands ennemis sont la peur et la panique. Ces deux émotions amènent à réagir en fonction de ses sentiments et de son imagination, au lieu des réalités de la situation. Si vous ne parvenez pas à les contrôler, elles peuvent détruire votre capacité à prendre des décisions intelligentes.
On enseigne aux Forces Spéciales à bannir la peur et la panique au moyen d'un entraînement approprié, et de confiance en soi. Mais il n'est pas besoin de suivre une formation militaire pour arriver à accomplir une telle chose. Ce dont vous avez besoin, c'est d'un entraînement basique aux techniques de défense et de survie, mais surtout, de la confiance qui vient du fait de savoir que votre vie peut être en danger, et quoi faire le cas échéant.
Lorsque vous vous préparez en vue d'un désastre, gardez toujours à l'esprit qu'il n'est pas besoin que celui-ci soit une catastrophe majeure ou un tremblement de terre pour que l'on se retrouve rapidement dans une situation d'urgence. Comme le dit le dicton d'outre-Atlantique, "Shit Happens" (la merde, ça arrive...) ; Une coupure d'électricité, un caprice climatique, une panne de voiture - voire un chemin pris à la place d'un autre - et vous pouvez alors vous retrouver dans un environnement dangereux ou inconnu.
Changer son attitude
Pensez au plus grand défi mental auquel vous ayez dû faire face dans votre vie... Dans une situation de survie, vous allez être confronté à des challenges et des problèmes bien pires. Votre attitude mentale sera votre plus grande force, ou votre plus grande faiblesse. Vous aurez à combattre vos émotions et pensées négatives, et vaincre vos plus grandes peurs. Vous ne serez jamais poussé aussi loin des limites de votre "zone de confort".
La société moderne a conditionné notre esprit de manière à ce qu'il s'attende à obtenir un apaisement instantané à tout événement inconfortable. S'il fait noir, il suffit d'appuyer sur un interrupteur ; Si on a faim, il suffit d'ouvrir le frigo ; Si on a froid, on allume le radiateur. Mais un tel conditionnement peut aussi se défaire. Le cerveau humain possède une remarquable capacité d'adaptation. Chacun peut, à force de volonté et de prise de conscience, se détourner de ses habitudes néfastes et retrouver l'esprit qui lui fera toujours espérer le meilleur, tout en se préparant pour le pire.
La peur est une émotion typiquement humaine. Elle est une réaction naturelle face à une crise. Il n'existe pas un seul combattant de guerre, un seul officier de police, pompier - ou quiconque vous pourriez considérer comme courageux - qui vous dirait qu'il n'a pas eu peur dans le combat ou tout autre situation de vie ou de mort. La définition du courage n'est pas l'absence de peur, mais l'acceptation et la capacité à l'utiliser de manière positive toutes les fois que l'on peut, et de la dépasser lorsque les circonstances l'exigent.
Plus problématique que la peur, est la panique. Énoncé de manière simple - dans les situations de survie, la panique est mortelle. La panique est un besoin incontrôlé de tout oublier et de courir aussi loin que possible du danger ; Un manque de confiance, le fait de ne pas savoir ce qu'il convient de faire, et laisser l'imagination prendre le dessus. Elle est actionnée par le stress, lui-même causé par la peur de l'inconnu.
Ce qui amène tout à ceci : Vous pourriez ne jamais être en mesure de contrôler les circonstances qui vous ont placé dans une situation de survie, mais ce que vous pouvez TOUJOURS faire, c'est contrôler vos réactions face à cette situation.
Pensez au plus grand défi mental auquel vous ayez dû faire face dans votre vie... Dans une situation de survie, vous allez être confronté à des challenges et des problèmes bien pires. Votre attitude mentale sera votre plus grande force, ou votre plus grande faiblesse. Vous aurez à combattre vos émotions et pensées négatives, et vaincre vos plus grandes peurs. Vous ne serez jamais poussé aussi loin des limites de votre "zone de confort".
La société moderne a conditionné notre esprit de manière à ce qu'il s'attende à obtenir un apaisement instantané à tout événement inconfortable. S'il fait noir, il suffit d'appuyer sur un interrupteur ; Si on a faim, il suffit d'ouvrir le frigo ; Si on a froid, on allume le radiateur. Mais un tel conditionnement peut aussi se défaire. Le cerveau humain possède une remarquable capacité d'adaptation. Chacun peut, à force de volonté et de prise de conscience, se détourner de ses habitudes néfastes et retrouver l'esprit qui lui fera toujours espérer le meilleur, tout en se préparant pour le pire.
La peur est une émotion typiquement humaine. Elle est une réaction naturelle face à une crise. Il n'existe pas un seul combattant de guerre, un seul officier de police, pompier - ou quiconque vous pourriez considérer comme courageux - qui vous dirait qu'il n'a pas eu peur dans le combat ou tout autre situation de vie ou de mort. La définition du courage n'est pas l'absence de peur, mais l'acceptation et la capacité à l'utiliser de manière positive toutes les fois que l'on peut, et de la dépasser lorsque les circonstances l'exigent.
Plus problématique que la peur, est la panique. Énoncé de manière simple - dans les situations de survie, la panique est mortelle. La panique est un besoin incontrôlé de tout oublier et de courir aussi loin que possible du danger ; Un manque de confiance, le fait de ne pas savoir ce qu'il convient de faire, et laisser l'imagination prendre le dessus. Elle est actionnée par le stress, lui-même causé par la peur de l'inconnu.
Ce qui amène tout à ceci : Vous pourriez ne jamais être en mesure de contrôler les circonstances qui vous ont placé dans une situation de survie, mais ce que vous pouvez TOUJOURS faire, c'est contrôler vos réactions face à cette situation.
La peur, l'anxiété, la colère, frustration, culpabilité, dépression, et solitude sont toutes des réactions possibles aux facteurs stressants habituels d'une situation de survie. Ces réactions, lorsqu'elles sont contrôlées de manière adéquate, aiguisent notre désir de survivre.
Être capable de contrôler le stress et d'éviter la panique augmentera vos capacités à garder le calme, à rester concentré, et vous préservera vous et vos proches pendant la crise. Apprendre des techniques de relaxation, d'affirmation de soi, et conserver une attitude positive vous y aidera.
Une des techniques enseignées aux soldats pour gérer le stress au combat et en d'autres situations de vie ou de mort peut se résumer par l'acronyme "AIM" (viser en anglais) : Anticiper - Identifier - Manager.
Anticiper l'anxiété et les problèmes qui pourraient se présenter. Ne pas prétendre que l'on a pas peur. Commencer à penser à ce qui nous effraierait le plus si l'on devait affronter une situation de survie ou une confrontation violente ; Puis s'entraîner dans les domaines où les failles personnelles seraient évidentes. Le but n'est pas d'éliminer la peur, mais de construire la confiance en sa capacité à fonctionner en dépit de ses peurs ;
Identifier les pensées perturbantes ou stressantes qui pourraient être la cause d'une anxiété future. Ne pas avoir peur d'effectuer une évaluation honnête des situations. Suivre l'adage : "S'attendre au meilleur, se préparer pour le pire" ;
Gérer ses réponses émotionnelles en utilisant la respiration contrôlée et le discours interne (autosuggestion), de manière à ce que nos capacités d'adaptation restent aussi vives que possible, et que l'on puisse continuer à se concentrer sur les tâches qui méritent notre attention.
Notre plus grand pouvoir sur la panique est la confiance qui découle du niveau de préparation que l'on pourra atteindre en suivant les conseils qui sont disponibles dans les livres ou les divers sites consacrés à la survie, tel Survivre au Chaos.
Je ne doute pas que la plupart de mes lecteurs possèdent l'attitude mentale appropriée pour passer le cap d'une crise majeure, même si beaucoup n'en ont peut-être jamais vécu de leur vie. Pour le reste, il est à craindre que l'impossible satisfaction du "Tout, tout de suite" si cher aux jeunes générations constitue la cause majeure de la capitulation prématurée de nos compatriotes. A moins que l'instinct de survie, si profondément enfoui de nos jours, parvienne à percer à travers les épaisses couches de ouate pour finalement reprendre le dessus le moment venu. C'est du moins ce qu'il faut espérer.
Être capable de contrôler le stress et d'éviter la panique augmentera vos capacités à garder le calme, à rester concentré, et vous préservera vous et vos proches pendant la crise. Apprendre des techniques de relaxation, d'affirmation de soi, et conserver une attitude positive vous y aidera.
Une des techniques enseignées aux soldats pour gérer le stress au combat et en d'autres situations de vie ou de mort peut se résumer par l'acronyme "AIM" (viser en anglais) : Anticiper - Identifier - Manager.
Anticiper l'anxiété et les problèmes qui pourraient se présenter. Ne pas prétendre que l'on a pas peur. Commencer à penser à ce qui nous effraierait le plus si l'on devait affronter une situation de survie ou une confrontation violente ; Puis s'entraîner dans les domaines où les failles personnelles seraient évidentes. Le but n'est pas d'éliminer la peur, mais de construire la confiance en sa capacité à fonctionner en dépit de ses peurs ;
Identifier les pensées perturbantes ou stressantes qui pourraient être la cause d'une anxiété future. Ne pas avoir peur d'effectuer une évaluation honnête des situations. Suivre l'adage : "S'attendre au meilleur, se préparer pour le pire" ;
Gérer ses réponses émotionnelles en utilisant la respiration contrôlée et le discours interne (autosuggestion), de manière à ce que nos capacités d'adaptation restent aussi vives que possible, et que l'on puisse continuer à se concentrer sur les tâches qui méritent notre attention.
Notre plus grand pouvoir sur la panique est la confiance qui découle du niveau de préparation que l'on pourra atteindre en suivant les conseils qui sont disponibles dans les livres ou les divers sites consacrés à la survie, tel Survivre au Chaos.
Je ne doute pas que la plupart de mes lecteurs possèdent l'attitude mentale appropriée pour passer le cap d'une crise majeure, même si beaucoup n'en ont peut-être jamais vécu de leur vie. Pour le reste, il est à craindre que l'impossible satisfaction du "Tout, tout de suite" si cher aux jeunes générations constitue la cause majeure de la capitulation prématurée de nos compatriotes. A moins que l'instinct de survie, si profondément enfoui de nos jours, parvienne à percer à travers les épaisses couches de ouate pour finalement reprendre le dessus le moment venu. C'est du moins ce qu'il faut espérer.
Pour terminer, je soumets à votre réflexion un passage de O Globo de Gustavo Curçao :
"Mon Dieu... Comment pourrais-je aimer si je dois combattre ?
Le Christ a répondu en disant : Justement ! En combattant ! Car c’est là la meilleure forme de charité à laquelle l’ennemi a droit.
Aussi incroyable que cela paraisse, ce sont les pacifistes qui pêchent contre la charité, quand ils veulent que tous s’unissent et se mélangent dans la même indifférence à l’égard du vrai et du bien. En effet, contre la charité, il n’y a pas de péché plus odieux que la complaisante condescendance avec laquelle nous laissons autrui demeurer dans l’erreur et dans le mal, et collaborons à cette lamentable situation..."
L'idéologie pacifiste mortifère des cathos modernes est une aberration mentale. Si les croisés devaient revenir pour une ultime opération de nettoyage, je ne serais pas surpris que ce soit par ces culs-bénits pitoyables qu'ils veuillent commencer.
Une ville ou une nation ne sont pas forcées de se laisser exterminer : ce serait le triomphe de l’injustice sur terre. D'où l’erreur des théoriciens de la non résistance au mal ou simple résistance passive comme Tolstoï, Gandhi, Pape François et prédécesseurs post-conciliaires, et tant d'autres.
Bien des méchants de l'autre camp vont se réveiller au jour du chaos. La seule alternative que nous ayons pour survivre est d'être aussi méchant qu'eux. Voire même davantage si nous ne voulons pas que le peuple de France et ceux d'Europe disparaissent à tout jamais...
"Mon Dieu... Comment pourrais-je aimer si je dois combattre ?
Le Christ a répondu en disant : Justement ! En combattant ! Car c’est là la meilleure forme de charité à laquelle l’ennemi a droit.
Aussi incroyable que cela paraisse, ce sont les pacifistes qui pêchent contre la charité, quand ils veulent que tous s’unissent et se mélangent dans la même indifférence à l’égard du vrai et du bien. En effet, contre la charité, il n’y a pas de péché plus odieux que la complaisante condescendance avec laquelle nous laissons autrui demeurer dans l’erreur et dans le mal, et collaborons à cette lamentable situation..."
L'idéologie pacifiste mortifère des cathos modernes est une aberration mentale. Si les croisés devaient revenir pour une ultime opération de nettoyage, je ne serais pas surpris que ce soit par ces culs-bénits pitoyables qu'ils veuillent commencer.
Une ville ou une nation ne sont pas forcées de se laisser exterminer : ce serait le triomphe de l’injustice sur terre. D'où l’erreur des théoriciens de la non résistance au mal ou simple résistance passive comme Tolstoï, Gandhi, Pape François et prédécesseurs post-conciliaires, et tant d'autres.
Bien des méchants de l'autre camp vont se réveiller au jour du chaos. La seule alternative que nous ayons pour survivre est d'être aussi méchant qu'eux. Voire même davantage si nous ne voulons pas que le peuple de France et ceux d'Europe disparaissent à tout jamais...
Merci de ne pas faire dire à Christ ce genre de chose, car c'est faux.
RépondreSupprimerSeul ceux qui n'ont jamais lu le moindre évangile et qui sont encore moins en mesure de les comprendre peuvent sortir de telles inepties.
Sauf peut etre les faux évangiles comme c'est la mode dans certains pays barnabé etc....ben voyons...)
Tout est bon pour salir les vrais chrétiens, on vois bien de qui c'est marqué de toute façon. :(
Pour ce qui est des béniouioui catho ça c'est vrai, mais les croisés étaient des monstres de barbaries et des ignares pour la plupart, rien a voir avec des gens pieux. (eh oui faut connaitre l'histoire avant de dire n'importe quoi).
Entre être un survivant et un massacreur y a tout un monde. M'enfin c'est peine perdu d'expliqué encore et encore.
C'est mieux de rendre le mal par le mal...biensur quand faudra passer à la caisse (devant le père) là seront les gémissements et les grincements de dents.
Christ est un combattant contre le mal, en effet, mais pas de la façon décrite si dessus. Il n'a jamais blessé personne, il a combattu le mal d'une façon bien plus forte.
M'enfin bon les fausses doctrines ça y va dare dare de la part de certaines autres qui sont elle totalement anti-christ ben oui, ça s'habille de piété mais c'est dark de chez dark...
On reconnais un arbre à ses fruits.
Tu peux censuré, ça m'est égal, je sais de quel coté est la vérité. Mais insinuer de telles notions...c'est tromper les croyants (les vrais).
@Viracco : Il s'agit d'un passage du texte de G. Corçao publié dans O Globo (un journal) ; en aucune façon d'une parole véritable ! :-)
RépondreSupprimerDe plus, je cite un article complet. Ce ne serait pas acceptable ni respectueux envers l'auteur que je prenne juste les extraits qui me conviennent à 100%...
Le site de Pierre est fort riche au niveau survalisme mais je ne partage pas non plus toutes ces idées.
Par contre, ne crois pas tout ce qui est dit non plus sur les Croisades. Tu ne fais que réciter ce qu'on t'a appris à l'école...
Tu connais l'histoire, j'essaie de comprendre la Tradition... De plus, pour avoir une bonne approche, il ne faut pas se cantonner à lire la Bible. Essaie de lire le Coran.
En effet, Jésus n'a jamais combattu car tel n'était pas sa mission puisqu'il était l'Agneau...
Ce ne sera pas le cas du Mahdi ou, dans la Bible, de celui qui "paîtra les nations avec une verge de fer".
Tu crois que l'AC sera vaincu comment si ce n'est en combattant ???
Bonsoir, je ne sais pas si mon post est passé, c'est la première fois que je le fais sur un blog :) en tout cas merci j'ai lu l'article que vous avez publié aujourd'hui et en effet je crois que j'ai eu ma réponse !
RépondreSupprimerRe-bonjour, comme promis je re-poste ici :) J'ai bien lu votre article d'aujourd'hui du coup je crois que j'ai eu ma réponse ! Merci encore
RépondreSupprimerJe dois dire qu'il y a 8 mois, avant vous avoir découvert et consacré quasiment toutes mes soirées à rechercher des preuves et autres témoignages, et bien voilà je n'étais pas vraiment convaincu de l'existence de Dieu, étant catholique "de tradition"... Jusqu'à ce que j'aboutisse récemment aux conclusions de mes recherches. J'assure que tout ce qui suit est véridique.
Un soir, avant d'aller me coucher, je lui ai donc demandé de m'éclairer sur ce qui allait se passer. Je vais donc vous raconter mon rêve : il s'agit de ces rêves qui paraissent très réalistes... Je rêve que nous sommes le matin, je suis en train de me réveiller, j'aperçois de mon lit le beau ciel bleu d'été à ma fenêtre (j'avais dû oublier de fermer le volet la veille !). Mais en regardant ce ciel je ressens un silence étrange, pesant, comme les marins disent "le calme avant la tempête". Un silence qui devient d'un coup plein d'angoisse et d'oppression, et là ... Une détonation énorme, un champignon nucléaire en feu, je ressens même les vibrations de ce bruit d'explosion tellement il est puissant, puis 4 ou 5 secondes, et la déflagration suit, je la sens venir, et au moment ou elle arrive sur moi, je me réveille en sursaut... Je peux vous dire que ce rêve m'a marqué pendant plusieurs jours.
Et puis je vous raconte également mon premier rêve, un soir je fais la même demande, puis je rêve que je marche dans un pré bien vert mais en pente, en travers de celle-ci, sur ma gauche un arbre mort perché plus en hauteur que ma position, sur ma droite une clôture barbelé et derrière le pré est à plat... Puis je regarde mes pieds nus, je me mets à léviter et je vois un halo doré autour de moi... je ne sais pas quoi penser de ce rêve, quelqu'un pourrait-il m'éclairer ? Dois-je comprendre que malgré les problèmes à venir (arbre mort, barbelés...), nous en serons au final "libérés" (lévitation ?) Merci...
@Ligeia
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce que vous dites et vous remercie également pour les informations que vous donnez ! Vous avez dit récemment que si plus tard on menace de nous tuer, aucune raison de se laisser massacrer sans broncher sous prétexte d'assurer son propre salut, et je suis assez d'accord avec vous, je pense que nous devons nous battre pour vivre et au delà de tout transmettre les bonnes valeurs à la future humanité. Car il faut penser à cette future humanité à reconstruire. Mais bon en même temps tout le monde connait cette phrase "si on te frappe sur la joue droite, tend la joue gauche..." quoi penser ? c'est pas évident !
Alors pareil j'ai demandé vendredi soir avant de me coucher ce que je devais faire si quelqu'un voulait me tuer, et alors là... samedi midi je bricole dans ma cave, je me retourne et me plante le couteau que j'avais posé à côté dans le bras... au moins 5cm de profondeur, 5 points de suture... Incroyable, j'ai eu l'impression d'avoir eu ma réponse... du genre "maintenant tu sais ce que ça fait de se faire planter alors si il t'en vient l'idée tu y réfléchiras à 3 fois avant de le faire..." !!!!! J'interprête ça personnellement comme "ne le fais qu'en cas d'absolue nécessité"... Que pensez-vous de ça ? ça parait dingue et j'en rigole même...
Sinon vous avez raison pour le clip de Katy Perry, regardez les paroles "So comfortable we cannot see the trouble !!!" Et le "nuclear family" dans la TV, puis juste après le mec qui sort "time is ticking for the empire!!!" C'est dingue... Et la regardez également la pub kenzo world, le bijou au bras de la fille, les colonnes maçonniques sur la tapisserie, et le tic-tac d'horloge à la toute fin du clip... genre "ça vient"... Quand on se ballade en ville, l'oeil et le triangle sont à la mode dans tous les motifs, et une mode en général ça dure une saison... Enfin le dernier clip de Katy Perry "Bon appetit" apologie au cannibalisme... Vous trouverez également le reportage sur youtube où elle dit "So I sold my saul to the devil..." et j'en passe d'autres enfin bref...
Désolé pour la longueur, je pense que je devais vous transmettre tout ça, et sur Patreon au moins pour l'instant on a l'impression que les zozos sont filtrés...
Demain échographie du bras pour confirmer que tout est ok :)
Merci encore pour tout.
Bonjour Julien et bienvenu ici :-)
SupprimerJe ne m'aventurerai pas à commenter tes rêves et ressentis car je ne m'y connais pas ! De même il s'agit souvent de messages persos que tu es seul apte à comprendre... ;-) (par exemple pour ton bras blessé, je ne l'aurai pas interprété ainsi pour ma part mais toi seul peut juger ^^)
Oui pour les clips de maintenant, c'est affligeant.... quand je pense c'est destiné à nos enfants... Une preuve de plus de notre décadence !
Si Ror filtre aussi les inscriptions, cela devrait faire du ménage en effet... :-)
Et j'espère que tout sera ok pour ton bras ! :-/
SupprimerHaha merci ça va en effet pas de séquelles j'ai eu chaud ! Et du coup tu l'aurais interprété comment toi ce "signe" si on peut appeler ça comme ça... Des fois que je me trompe !
SupprimerLes clips c'est abusé, pour moi le plus flippant c'est la pub kenzo world... Sinon comme Rorschach j'ai le pressentiment que c'est pour cet été 2017 en effet, même si d'autres sources à priori sérieuses annoncent plutôt 2018... tu en penses quoi toi ?
c'est bizarre ça affiche mon commentaire en "unknown"...
Supprimer@Julien : Oui j'ai vu cela... bizarre...
SupprimerNon ce n'est pas que tu te trompes, mais suivant sa nature, on est porté à différentes interprétations. Ton exemple montre bien qu'il est délicat d'interpréter pour un autre que soit sauf si on a de vraies connaissances dans ce domaine.
Pour mon "interprétation... ta question était "que dois-je faire si on m'attaque ?" Et bien j'aurais eu ma réponse... concrètement ! ;-)
Sérieusement, il faut aussi faire attention car tous les signes qui nous parviennent ne sont pas tous d'origine divine, loin s'en faut ! Prudence donc... ;-)
Oui on avait parlé de cette pub Kenzo bizarre chez Ror...
Tous les indicateurs, les signes, sont au rouge en effet.... mais je ne veux pas m'aventurer à donner de dates ! On a quelques marqueurs temporels, à nous d'être vigilants... ;-)
En effet c'est vrai, les sources ne sont parfois pas toutes divines... méfiance comme tu dis.
SupprimerC'est bien vrai aussi concernant les dates, de toutes façons peu importe, l'essentiel c'est d'être prêt je pense.
Merci :)
Pour avoir baigné dans l'histoire des croisés durant 2/3 ans, en vivant dans une ancienne commanderie (dans l'Aveyron), allant voir tous les villages vestiges aux alentours, lisant et surtout ressentant les ambiances, en effet, une partie des croisés n'étaient pas tous des modèles de raffiné, mais il y avait, parmi eux, de vrais initiés (et même très hauts initiés) parmi eux.
RépondreSupprimerEt ça, pour avoir vécu certains faits étranges (que je n'ai vécu que dans ces lieux), ils sont "habités", c'est certain.
C'est en ces lieux qu'à eu lieu une scission très claire en moi : fin de l'époque paganiste et début du chemin vers la lumière.
Pour ce qui est de combattre, lutter, j'ai l'impression qu'il s'agit de plusieurs paliers.
Pour l'histoire du combat :
Dans les arts martiaux, il y a divers niveaux et le niveau de "grand maître" (le plus haut niveau, au dessus des « dan » je parle dans la tradition, désormais, comme pour tout, le « lien divin » avec le maître tend à disparaître) ne correspond pas à celui qui se bat le mieux, mais à celui qui par sa maîtrise et sa paix intérieure parvient à "remporter la mise" sans combattre physiquement.
Pour ce qui est de la spiritualité, avec les lectures récentes, il me semble qu'il y a aussi un "niveau" à atteindre si l'on veut suivre "l'imitation de Jésus", où il ne s'agit pas tant de ne pas combattre que de ne pas combattre physiquement.
J'ai toujours insisté sur la différence entre l'objectif qui m'apparaît et le point où chacun en est et étant en train de parler, celui où je suis moi.
Et dans cette histoire, le plus important est d'être honnête avec soi, mais aussi avec les instances.
Je vois beaucoup de gens prôner la paix, l'amour...sont ils absolument certains qu'ils "ne pèteraient pas les plombs" devant une situation, pas forcément pire qu'une autre, mais qui les touche ?
C'est ce qui me gêne un peu dans tout cela.
Ligeia, comme d'autres se sentent coupables de vouloir se défendre en cas d'attaque, comme s'ils étaient en tord, total.
Mais, il y en a, en "face" qui ne sont peut être pas honnêtes avec eux mêmes et dans ce cas, j'ose traduire les désirs lumineux, en disant, qu'il vaut mieux quelqu'un qui se défend, qui sait le prix de ce qu'il a pris (la vie, ou la santé) et le prix de ce qu'il échange contre cette vie, cette santé (celle d'une autre vie, d'une autre santé...), plutôt que quelqu'un qui se ment et agirait violemment et en plus n'assumerait peut être pas (en osant revenir en pensée sur son acte pour l'évaluer).
Car si on pense à se défendre physiquement, on pense forcément à tous les tenants et aboutissants de toutes les situations possibles, en tout cas on cherche à se connaître vraiment et tester ses interactions, ses failles, ses faiblesses...et on regarde, en suite, la conséquence en face.
Ceux qui sont (semblent) absolument certains de répondre à la violence par de l'amour, sont à craindre car le risque est qu'ils ne se connaissent pas vraiment, et ne connaissent, donc, pas leurs limites, et tout ce qui tend à "énerver" plus que de raison (on a chacun des sujets qui sont pénibles, c'est pareil dans l'action, il y a des choses insupportables qui font sortir de ses gonds).
Et en plus, risquent de cacher leur acte au fond d'eux générant des troubles comportementaux, mais surtout une coupure avec le divin.
De plus, il n'est pas dit, en effet, que nous ayons tous la même mission.
.../...
.../...
RépondreSupprimerPersonnellement, je ne prône jamais la violence, car, mon tempérament est très très calme (d'une patience infinie) mais mes explosions de colère sont aussi très violentes, je n'ai jamais eu à taper personne car, l'effet de surprise (contraste entre une telle colère et le calme habituel) suffit.
Pour autant, je ne suis pas un "grand maitre comme dans les arts martiaux", car, eux y parviennent en étant vraiment en paix au fond de eux.
Dans mon cas, il s'agit tout au plus d'une "technique de manipulation" qui a toujours fonctionné (on a chacun nos techniques de défense préférées, que l'on "teste" enfant et l'on garde celles qui ont fonctionné le mieux, pour nous) : plus je m'énerve intérieurement, plus je suis calme extérieurement, attendant l'explosion (mais je n'y arrive pas à tous les coups à garder le calme extérieur alors que la colère monte).
Même mon ex. de PN n'a jamais levé la main sur moi, car, il aurait eu le retour, et là dessus, il n'a jamais voulu tenter le coup, même si je n'ai pas le physique de rambo femme lol (mais il m'a vue en colère).
De toute façon, il était bien plus perfide que ça.
Pour autant, il est très rare (de plus en plus rare avec le temps) que je me mette vraiment en colère et peut être que mon « travail » est ailleurs ?
Des efforts à faire encore au volant (il m'est arrivé de penser à Jésus en voiture, et puis, hurler comme un ours sur un chauffard, et puis me dire « bravo, bien joué pour l'amour du prochain et toussa ! Sisi impressionnée par tant de progrès !»).
Donc, d'un autre côté, je serais mal placée de prêcher quelque chose sans y être parvenue. Pour autant, il me semble (vous savez dans "nuit obscure" et "imitation de Jésus" ils vont loin dans la négation de soi pour s'ouvrir à Dieu et le souci d'entretenir l'humilité) que c'est là qu'il faut arriver (lutter mais pas physiquement, je veux dire, se battre).
En vous parlant de tout ça, je viens d'identifier ce sur quoi je dois continuer à travailler, car, ça n'est pas encore tout à fait ça : discerner (de façon la plus certaine et rapide possible) vraiment celui qui est dans le souci, de celui qui feint « pour avoir du son ».
RépondreSupprimer"Tu crois que l'AC sera vaincu comment si ce n'est en combattant ??? "
Je me demande si le "gros du combat" avec ce type d'esprit est de l'ordre de la lutte physique ou de la résistance aux tentations (le péché parmi la liste, auquel, il est le plus difficile de résister, selon les natures).
Vous connaissez le film "seven" ?
Il éclaire ce point justement.
Le tueur prêche en tuant ses victimes selon les péchés (des victimes choisies chacune en fonction des péchés qu'elles entretenaient, sauf une, pour elle, c'est le tueur qui commet le péché et d'ailleurs attend la "punition" de la part du mari de la victime car il a déjà identifié la faiblesse de ce policier : la colère. Il est certain que le policier, y cèdera).
La fin du film permet de se faire une idée du type de combat.
Les films (pas tous) permettent de mettre en image des concepts totalement abstraits et que l'on a du mal à imaginer.
La scène finale (j'espère que vous l'avez déjà vu. Mais connaître la fin, ne gâche pas le film pour autant, mais ce n'est que mon avis).
https://www.youtube.com/watch?v=ZRp6JjRM4n8
Petite parenthèse :
Je me rends compte qu'il devient de plus en plus difficile de trouver des extraits de films ou même la bande annonce, sur youtube, la plupart des extraits proposés par le moteur de recherche "vidéo" le sont, sur d'autres supports.
Ce n'est pas la première fois que je remarque cela depuis quelques temps.
Ce qui donne raison à Rorschach, concernant youtube.
Parenthèse of.
.../...
RépondreSupprimer.../...
Peut être que le travail de chacun réside sur la faille ou "le péché" capital auquel il est le plus difficile de résister ?
Résister à cette faille lancinante par amour pour Dieu. Ce serait peut être ça, le combat ?
Quand on connaît ses failles (les tentations auxquelles il est le plus difficile de résister) ça ne facilite rien du tout, reste le plus "gros" à faire : lutter.
Après reste, ce que l'on pense que l'on ferait dans telle ou telle situation : comme celle de "seven", sans être particulièrement colérique, comme le policier (tout au long du film on voit qu'il n'a aucune patience), qui aurait réussi à ne pas tirer sur le tueur ?.
Qui peut être absolument certain (en vrai, pas en imagination), de faire face, mieux (avec plus de panache, de grandeur d'âme...) que ce policier, dans la même situation ?
Je crois que c'est précisément là que se situe le vrai problème entre les partisans du "pacifisme" et du "self défense" : se voiler dans une fausse dignité sans savoir vraiment ce que l'on ferait, ou fera, et le présenter sous forme de reproche aux partisans de la défense est une attitude imprudente pour ceux qui ne savent pas (ne se connaissent, donc, pas) et perfide pour ceux qui se connaissent (et donc, savent qu'ils ne gardent pas leur calme dans toutes les situations et peuvent réagir vivement et de façon injuste).
Il m'étonnerait que la perfidie soit mieux accueillie que la violence.
Pour autant, il n'est pas sûr que les combats spirituels soient matériels, cependant, doit on se laisser assassiner ou sa famille, sans rien faire ? franchement, je n'en sais rien. Mais on ne peut pas faire dire aux écritures ce que l'on aimerait (que la défense soit "permise"), pas plus que leur faire refléter nos fantasmes (pacifisme absolu).
Ce que je lis sur le Christ plaide carrément contre la violence qui doit être évitée absolument, mais, ces livres placent, quand même la "barre" très haut (imitation de Jésus est carrément prendre Jésus pour modèle. Et justement qui aurait continué à dire la vérité, comme il l'a fait, sachant ce qu'il risquait ?).
Je crois que le "niveau" est impossible à atteindre pour un humain, c'est ce que je pense.
Pour autant, cela n'est pas une raison pour se dire "de toute façon je suis en deçà, donc un peu plus ou un peu moins" et se rouler dans la fange (et se jeter dans les mains de l'ombre).
@Lion :
SupprimerPour les Croisades, c'est en discutant ici même que j'ai pu envisager une autre approche que celle qui nous est inculquée à l'école (entres autres).... mais ce n'est pas une remise en question que tout le monde peut accepter (sans aucune prétention puisque tel était mon cas il y a peu encore !) et on est souvent encore contaminé par la version de ce qu'on a appris.
Merci de montrer aussi que tout n'est pas si simple.... :-)
Pour la "violence", il faut bien faire la différence entre celui qui va tuer tous ceux qui se trouvent sur son passage pour assouvir ses besoins personnels et celui qui défend sa vie ou celle d'autrui, sans même parler de défendre une "cause" supérieure...
Je ne crois pas me tromper en disant que si je vois un de mes proches (voire même un inconnu mais là, c'est plus de la spéculation) se faire attaquer ou malmener devant moi, j'agirai.
J'ai toujours en tête un comm de Ror qui disait : "Être dans l’acceptation ne signifie pas accepter n'importe quoi. Par exemple, si des illuminés débarquent chez toi pour emmener tes gosses à une pizza party, tu acceptes ou tu sors tes machettes ?"
Inutile de te donner ma réponse.... ;-)
Tu as raison de dire qu'il existe des "fonctions" distinctes... En simplifiant (que les spécialistes me pardonnent...) on peut dire qu'il y a les "contemplatifs" et les "actifs/guerriers" (il y en a d'autres mais je m'occupe de ces deux là).
Les "contemplatifs", je les assimile aux Elus. Ils représentent la caste supérieure ; mais il n'y a pas d'opposition à faire entre "contemplatifs" et "guerriers" puisque les deux sont complémentaires. Chacun doit agir selon sa nature...
Cependant, se réclamer de cette "caste" ultime me semble totalement inadapté. Déjà, parce que Dieu seul sait... Secundo, le fait de se revendiquer en tant que tel (ou de le laisser supposer) est déjà un empêchement à cette fonction (selon moi).
Je crois que les Elus sont bien au-delà de toutes polémiques, au-delà de tout prosélytisme, de toutes querelles d'égo. Je doute même qu'on en trouve sur Internet...! :-)
Donc par exemple, le fait d'être en train ici même de disserter avec toi montre que je suis incompatible avec cette fonction...^^
Tout ça pour dire qu'il y aura des personnes qui ne sont pas appelées à "agir" mais il semble orgueilleux de s'attribuer ce statut soi-même.
Pour en revenir aux "guerriers", s'il m'était donné d'en faire partie, il ne faut pas oublier que c'est aussi pour préserver les Elus qu'il faut combattre. Ce sont eux qu'il faut "sauver" avec l'aide de Dieu et du Mahdi.
Comme je le disais à Virracco, la mission de Jésus n'était pas "le combat". Il est l'Agneau. Il en va différemment avec le Mahdi qui lui, apporte l'épée... Je crois que Alfihar avait précisé que tel était le vrai sens du Djihad.
Le vrai combat contre l'AC est en effet plus de l'ordre spirituel en résistant à la tentation immense qu'il représente... Là aussi, c'est une dramatique erreur de croire qu'on pourra sans soucis l'identifier et lui résister.
Il est bien dit qu'il représente la PIRE tentation jamais vue et que même les Elus succomberaient si Dieu n'abrégeait ces jours sombres...
Prétendre être assez sûr de sa Foi pour ne pas vaciller, c'est faire preuve d'un aveuglement total ; et à se croire plus fort que l'AC (ou à le sous-estimer, ce qui revient au même), c'est faire fi des avertissements du Ciel et offrir au Dajjal une voie royale pour nous faire chuter.
N'oublions pas que le Mahdi risque fort de nous être présenté comme un dangereux islamiste cruel et sanguinaire... l'Antéchrist par contre, "rétablira" la paix et l'amour universel de l'homme.
D'où ma méfiance envers toutes les théories "pacifistes"....
@Lion : C'est R. Guénon qui dénonçait toutes les manifestations extérieures chez certains "mystiques".
RépondreSupprimer"Nous devons préciser tout d’abord que le détachement vis-à-vis de l’action, dont nous parlions à propos du « non-agir », est avant tout une parfaite indifférence en ce qui concerne les résultats qu’on peut en obtenir, puisque ces résultats, quels qu’ils soient, n’affectent plus réellement l’être qui est parvenu au centre de la « roue cosmique."
"On peut aussi se demander jusqu’à quel point l’indifférence affichée en pareil cas est bien réelle (et peut-elle l’être vraiment pour quiconque n’est pas parvenu au centre et effectivement affranchi par là même de toutes les contingences « périphériques » ?)"
En somme, il ne suffit pas d'afficher certains "symptômes" pour bénéficier de la "fonction"... ;-)
C'est la différence entre la petite guerre sainte, lutter contre les autres, et la grande guerre sainte, lutter contre soi même. La seconde est prioritaire par rapport à la première.
RépondreSupprimerMais Dieu n'a jamais interdit de défendre les siens.
Jésus, faut il le rappeler, est un cas particulier car il est venu pour créer une voie spirituelle (tarîqa) et il n'avait reçu aucun mandat du Ciel pour utiliser la force (il le dit textuellement plusieurs fois dans l'évangile et interdit à ses apôtres d'utiliser la violence ) mais en même temps il prévient qu'il apporte l'épée, donc qu'il faudra combattre physiquement et spirituellement au côté du Mahdi.
Dieu ne nous demande pas de nous laisser tuer sans rien sauf à le faire pour témoigner de notre foi mais là c'est choisir d'être un martyr.
Vous avez raison Lion blanc les voies d'arts martiaux sont des voies initiatiques pour kshatriyas dont le but final est de ne pas utiliser la violence et d'obtenir une totale maitrise de soi.
La guerre peut donc être légitime, elle avait ses codes et certaines "valeurs".
La survie à tout prix est une déviation moderne.
Les gens ont déjà du mal à résister à Macron dont on ne pas dire qu'il soit doté d'un charisme exceptionnel (c'est une qualité rare dans la caste des banquiers) alors je n'ose imaginé quand va se présenter le maître de Macron... La population est prête à l'accueillir, le suivre, il ne manque plus que la partie adoration et divinisation qui est en phase de déploiement via les symboles, les clips, les films, les chansons, les cérémonies... mais cela sera facilité par la situation apocalyptique liée à la guerre, la famine, les épidémies car les gens auront besoin d'un sauveur.
RépondreSupprimerAh ! Vous semblez donc vous aussi penser que ce n'est qu'une pâle copie fort peu tentante de ce qui viendra... :-)
SupprimerJe note dans les hadiths que les gens (certains en tous cas) auront parfaitement conscience de suivre le Dajjal puisqu'ils diront le faire "juste pour la nourriture"...
On pourra donc deviner sa nature réelle sans trop de problème mais pas y résister...? Cela m'inquiète bien plus que si on le suivait sans savoir qu'il est l'AC. :-/
J'ai une autre question : les choses extraordinaires qu'il sera capable de réaliser pour nous tenter, seront-elles pure magie (illusion, hypnose...) ou réelles ?
Je crois surtout que l'ombre embrouillera tellement tout, que l'on y perdra notre "latin".
SupprimerIl n'est pas dit que l'AC n'envoie pas tous ces "signes" (pyramides, symboles franc mac, et tout le tremblement) par dessus bord, sachant qu'ils sont estampillés "AC" par les croyants.
J'ai bien peur qu'il "parle" à chaque religion conformément à ce qu'elles attendent et qu'il "montre" un visage très différent, aux musulmans, chrétiens, athées, scientistes....en fonction de l'interlocuteur.
Et que personne (ou si peu) ne parvienne à s'apercevoir que derrière ces "visages" ou "masques" ce soit une seule et même personne : l'AC.
Exactement le type d'attitude des PN (ils donnent des versions d'un même fait et montrent des visages totalement différents, en fonction de l'interlocuteur, de l'auditoire, les gens, lorsqu'ils l'évoquent, ont le sentiment de ne pas parler de la même personne), mais avec une capacité de dissimulation bien pire que tous les PN humains réunis.
C'est un grand débat est ce une illusion ou est que cela sera réel? nous vivons de toutes les façons dans un monde d'illusions donc même si ce que fait l'AC peut sembler réel d'un certain point de vue cela ne le sera pas d'un autre. Il est dit que l'AC sera l'homme le plus illusionné qui ait jamais existé.
SupprimerDans le monde intermédiaire il est possible de faire beaucoup, beaucoup de choses. Ces choses sont considérées par la majorité des personnes comme impossibles ou légendaires c'est pourquoi elles auront un impact beaucoup plus fort.
Nos ancêtres étaient parfaitement conscients de certains phénomènes, pourtant on les traite de crédules et de superstitieux or ce sont ceux qui se croient les moins crédules qui vont vénérer l'AC pour ce qu'il fera.
Pour vous donner un exemple (qui plaira à Jean Jacques même si je ne suis pas sûr qu'il le croira) il est évidemment possible de transformer de vils métaux en or:
"L’auteur évoque par-là des influences égyptiennes et nubiennes sur la tarîqa shâdhûlîyya. René Guénon note que son fondateur Seyidi Abul-Hassan Esh-Shadhili a transmuté en or pour le sultan d’Egypte une grande quantité de métaux, uniquement avec sa « barakah« , son influence spirituelle. (Wikipédia : Abou Hassan al-Chadhili (أبي الحسن الشاذلي), surnommé Sidi Belhassen Chedly, né vers 1197 au Maroc et décédé en 1258 en Égypte, est un saint musulman d’origine marocaine. Surnommé l’« imam des croyants », il fonda l’ordre soufi de la Chadhiliyya.)"
http://newsoftomorrow.org/esoterisme/soufisme/ibn-arabi-la-nature-subtile-des-jinns-et-le-roi-serpent-de-lempire-ghana
Cet article est également intéressant pour ce qui traite des djinns, de leur nature et de leur fameuse prédictions, cela commente le livre de C.A Gilis "Aperçus sur la doctrine akbarienne des jinns"
Ce que fera l'AC sera surnaturel ou supranaturel et ressemblera à des miracles mais il ne peut comme Jésus marcher sur l'eau car cela se situe dans le domaine spirituel qu'il ne peut atteindre (singer a ses limites).
@ Lion blanc il existe des résidus psychiques qui sont rarement bienveillants et qui sont malheureusement manipulables par des personnes très malveillantes.
Le site dont est tiré le commentaire du livre de C.A Gilis n'est absolument pas une référence mais les extraits sont intéressants.
Supprimer@Lion : je viens de comprendre que PN signifiait Pervers Narcissique....! :-)
Supprimer@Alfihar : Cela veut dire qu'il croira lui-même à son discours... Il sera un fanatique même pas conscient qu'il entraînera les gens vers l'abîme. L'Inquisition telle qu'on nous la décrit à notre époque, c'est plutôt la société sous l'AC qui la mettra en place.
Il y a pourtant un signe qui ne trompera pas, c'est qu'il ne pourra entrer à La Mecque... Sur ce point, il semble que toute sa "magie" ne pourra rien faire.
Et ressusciter les morts ? Je crois que des hadiths en font mention...
Il est dit que même Lucifer vit dans une illusion, le dualisme en est une.
SupprimerIl y a différents niveaux d'illusion. Se prendre pour un être supérieur voire une divinité comme Pharaon est une illusion, celle de celui qui croit qu'il a atteint un niveau supérieur aux autres et que personne ne peut égaler. Dans une certaine mesure l'AC va atteindre un niveau de maîtrise du monde intermédiaire jamais atteint par un humain mais il sera illusionné car il ignorera qu'il existe des niveaux spirituels supérieurs au delà du sien.
Son illusion est celle de ceux qui s'arrête à l'état individuel et formel, régi par le temps et l'espace, ignorant que ce n'est qu'un état de manifestation passager, transitoire et en partie illusoire quoique fondamental.
Pharaon ayant atteint le niveau maximum des petits mystères a cru être une divinité, l'AC sera dans le même moule mais à un niveau supérieur (d'un certain point de vue c'est surtout un surdéveloppement des possibilités inférieures).
"d'un certain point de vue c'est surtout un surdéveloppement des possibilités inférieures".....et que seul notre monde moderne peut permettre, non ?
SupprimerCela n'aurait pas pu se produire ainsi à la fin d'autres âges car ils n'avaient pas chuté autant pour que leur perte par la tentation de l'AC soit envisageable ?
Il ferait presque pitié l'AC... :-/
@ Ligiea
SupprimerLe Dajjal ne pourra pas rentrer à la Mecque, Medine et Jérusalem. De plus, il est totalement conscient qui il est, ses pouvoirs qu'il a et sais aussi que la seule façon de lui résister c'est pas de le combattre avec la violence.
Le Dajjal n'a pas de disciples, il a pas besoin ;)
A Bientôt
Le fait qu'il soit illusionné n'empêche absolument pas qu'il ait pleinement conscience de ses possibilités, de son pouvoir et de sa place, donc non il ne fait pas pitié car c'est un rebelle à Dieu assumé comme Pharaon (qui avait pourtant reçu de Moïse la preuve qu'il devait se soumettre à Allah).
SupprimerCe type de pouvoir rend très orgueilleux alors que la connaissance de l'ordre des grands mystères rend de plus en plus humble et soumis.
Pour parler de l'AC j'ai encore vu un film hier qui y fait référence, c'est Looper avec Bruce Willis où il y a encore un enfant doté de pouvoirs particuliers (d'ordre télékynesique) que le héros venant du futur veut éliminer avant qu'il ne prenne le pouvoir quelques années plus tard. L'enfant va devenir the Rainmaker (tout un programme ...)
@Alfihar et Shakur : Merci pour la correction ! :-)
Supprimer@Shakur : Je ne compte même pas m'approcher de lui si je peux l'éviter ! J'ai bien compris qu'il représentait le pire danger pour notre âme et je ne vais certes pas me croire plus forte...
Je pensais plutôt à combattre ses hordes (pas disciples en effet :-) ) et à lutter contre leurs crimes... Inch'Allah ! :-)
@Alfihar : pas vu ce film.... A l'occasion je regarderai ! (Cela me reposera la tête, je devrais avoir moins de mal à comprendre Bruce Willis que Guénon ! ^ ^)
C'est un film un peu tordu car il y a des boucles temporelles et cela réclame une certaine attention, un peu comme dans Inception.
SupprimerDans ce cas, je vois le style... :-)
SupprimerC'est peut être par rapport à ce que vous dîtes tous les deux qu'un livre comme "imitation de Jésus" ne s'adresse pas à tous, mais seulement à ceux qui doivent suivre cette voie ?
RépondreSupprimerMais le plus important qu'il me semble est de ne pas se faire croire des choses fausses, surtout sur soi, la moindre des choses étant de se connaître, puisque nous avons une vie pour nous étudier et nous façonner et que « l'objet » d'étude, est à portée de main de façon constante.
Pour les croisades.
Cela faisait quelques années que j'étais versée dans le paganisme et je suivais plus ou moins les diverses fêtes.
Lorsqu'arrivée dans ce village Aveyronnais, j'ai fêté Samhain (31 octobre 2012 d'ailleurs) et enterré une pomme en offrande devant mon balcon qui était au rez de chaussé.
Durant les 2/3 ans où nous sommes resté, la nuit, on entendait des chuchotements dans le salon, et même si l'on ne comprenait pas ce qui se disait, ils étaient très clairs (des objets disparaissaient et réaparaissaient, mais surtout, mon ami a très bien formulé : on se sentait mourir à l'intérieur de nous).
Alors cela pouvait être des esprits, ou le camp militaire pas loin (dont l'essentiel des manoeuvres pouvaient très bien se passer en sous sol).
Mais surtout, c'est là que j'ai passé une nuit bloquée à ne pas pouvoir me lever ni dormir et voir défiler les moments où j'ai été victime d'injustice ou autre comme la plupart des gens, mais aussi les fois où c'est moi qui n'ai pas brillé : soit non intervenue pour défendre quelqu'un alors que c'était possible (j'avais l'habitude de me mêler des problèmes des autres pour tenter de les résoudre, mais pas toujours), les fois où j'ai menti sans penser aux conséquences...en clair, je me suis sentie « jugée ».
Cette nuit fut déterminante dans la bifurcation sur le chemin.
Et enfin, en ce lieu, nous avons tenté de planter toute sorte de plantes du coin qui, habituellement poussent seules (herbes aromatiques, pin...), elles finissaient par mourir.
Le jour où nous sommes partis, on a constaté qu'une pensée jaune et violette avait poussé spontanément dans la partie de la jardinière qui se trouvait à côté de l'endroit où j'avais enterré la pomme, quelques années avant.
Cela ne peut pas être des semences qui auraient volé, j'ai regardé et il n'y avait aucune pensée dans l'herbe avoisinante, ni, dans les jardinières des voisins.
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RépondreSupprimerNous avons clairement (sans ambigüité possible) senti qu'il nous fallait partir de cet endroit.
Tous les cristaux de roche se sont brouillés (pas d'un coup, mais peu à peu), les vêtements étaient recouverts d'une sorte de « film » jaunâtre (surtout ceux que l'on mettait rarement) et une odeur de « mort » qu'il fut très difficile de faire partir, depuis. Et nous avons dû jeter beaucoup de choses.
Et au moment où je disais que je resterai le temps de finir mon contrat et rejoindrai mon ami dans le sud, plus tard, pas plutôt fini la phrase, qu'un huissier frappait à la porte avec une injonction de payer une somme astronomique sinon nous serons expulsés.
Le « message » était on ne peut plus clair (rien ne tenait debout dans ce dossier), d'autant que nous avons prouvé à l'huissier que c'était la compagnie immobilière qui était fraudeuse, le dossier fut clos (nous étions déjà partis).
Nous avons constaté la fleur, alors que nous avions déjà tout enlevé de l'appartement.
Il n'y a pas de confusion possible et tout cela ne peut pas être mis sur le dos du « hasard ».
C'était la deuxième fois que quelque chose me poussait à partir (Paris 8 ans avant, et l'Aveyron en 2014) d'un endroit (mais, maintenant que j'y pense, ce fut à peu près pareil pour mon ami, même si son départ de Paris fut aussi impératif, ce furent pour des raisons différentes).
Mais les manifestations Aveyronnaises furent les plus « étranges » déstabilisantes, même, tant quelque chose d'impalpable agissait de façon presque visible.
Durant ces 2/3 ans j'ai laissé le paganisme et retrouvé la religion de mon baptême.
C'est même devenu une évidence.
Une chose est claire : depuis cet épisode aveyronnais, la vie n'a plus jamais et ne sera plus jamais la même (même mon ami qui était quelqu'un de très téméraire, a pris comme "une claque", cet épisode l'a plus profondément marqué que les terrains de conflits qu'il a écumé durant sa carrière).
C'est dans un autre village templier, durant ces 2/3 ans, que j'ai, un jour croisé quelqu'un que je n'avais jamais vu (me souviens très bien des visages), mais dont j'ai reconnu le regard (et pareil pour la personne de son côté).
Que s'est il passé ? je ne le saurai jamais, mais une chose est sure, ces villages fréquentés par les croisés sont très très chargés.
Une autre chose, c'est pour ça que j'insiste tant au près de Jean Jacques, à force de tripatouiller l'alchimie, en certains lieux, il peut arriver que "ça marche", à ce moment là, un autre problème s'ouvre : qui a "répondu exactement" (quel type d'entité) ?
Suivre Jésus est devenu, pour moi une évidence, incontournable et impératif.
Durant ces 2/3 ans, sommes allé à Bougarach, à Rennes le Château, dans tous ces villages anciens et pour être franche, il m'est difficile de dire s'ils sont chargés de façon positive ou négative (c'est d'ailleurs la principale chose qui m'ait frappé dans ces villages).
C'est pour cela, que oui, comme ligeia, c'est le discernement qui sera le plus difficile, pour moi, ça ne fait aucun doute.
Si l'un tient une épée et que l'autre prétend apporter la paix, compte tenu des paramètres d'évaluation du « bien » et du « mal » qui nous sont inculqués, ça ne présage rien de bon.
Mais même pour les plus avertis, ce ne sera pas chose aisée, très loin de là.
En somme, il ne suffit pas d'afficher certains "symptômes" pour bénéficier de la "fonction"... ;-)
RépondreSupprimerC'est bien ce que je pense aussi, comme je dis souvent : "il ne suffit pas de boire de l'absinthe pour écrire comme Rimbaud ou Verlaine".
Maintenant que j'y pense : Paris = débuts dans le paganisme = départ précipité
retour dans "mon coin" où tout s'est déroulé avec une facilité déconcertante afin que je retourne à l'endroit où j'avais vécu cette "révélation" des années auparavant (mais m'en étais détournée, jugeant du haut de mes 20 ans, que c'était bien trop austère pour moi).
Durant 6 ans, les actes paganistes étaient limités par le temps libre passé en ces lieux où je communiais (c'est bien ça, c'est vrai).
Départ Aveyron = pratique à nouveau du paganisme = départ précipité avec manifestations cuisantes (+ un témoin).
Une entité a voulu me faire lâcher prise de ces pratiques, ça n'est pas autrement (d'ailleurs il va bien falloir que je règle le sort du coffre où dorment tous ces objets restants).
Il fut un temps où les démons me paraissaient fun et "rock'n roll" et bien, la leçon fut corsée (quoi qu'elle aurait pu être plus sévère encore, il faut bien le concéder).
Oui, il ne faut pas "jouer" avec certains trucs et l'honnêteté envers soi reflète celle que l'on a avec la lumière que l'on refuse de laisser entrer en soi (si on se ment, on ment à Dieu aussi de toute façon, en tout cas l'attitude est bien de se dérober).
Ce fut la "leçon" apprise lors de cette "nuit du jugement".
Si l'on refuse de laisser entrer la lumière, on entretient l'ombre.
Une autre chose ressort de toute cela : nous sommes de petites poussières, pourtant nos attitudes, choix de vie, rejaillissent sur l'entourage proche, et peut être même plus loin (si à la place de mon ami, adulte, ça avait été des enfants qui assistent à ces étrangetés, impossibles à expliquer en tant qu'adulte ?).
Je crois que beaucoup pensent qu'il s'agit d'un jeu, sauf qu'ils ignorent avec "quoi" ils jouent.
Même sur le blog de Rorschach, certains "sentent" le lapin rose de 3 mois et je crains sincèrement pour eux.
Le nombre de témoins semble petit, mais compte tenu de toutes ces difficultés, ça n'est pas surprenant, finalement.
Et, je dis cela, car même avec tous ces avertissements (et d'autres encore), ne suis pas sûre de ne pas me faire "avoir", d'une manière ou d'une autre.
Si c'est par la force : soit on prête allégeance, soit on se sacrifie (pas forcément en mourant, mais aussi en renonçant à tout).
Si c'est par la ruse, je pense surtout à ceux qui se font plaindre pour ensuite attaquer, les perfides : c'est ce point qui me semble le plus difficile (bien que l'autre soit loin de la facilité).
D'où ce côté "ours des cavernes".
Sur sputnik je lisais hier deux articles "une étude indique que les athées sont plus intelligents que les croyants".
et une autre étude de scientifiques finlandais, avancent carrément qu'il y aurait des similitudes entre les autistes et les croyants.
Ces études sont d'une fiabilité discutables, mais l'info fait son "effet".
https://fr.sputniknews.com/insolite/201705141031378630-croyants-intelligents-athees/
https://fr.sputniknews.com/societe/201610261028383254-croyants-atheistes-autistes-finlande/
On voit bien vers quoi on veut nous emmener...
Oui, pour la guerre, donc, en effet, elle est tolérée, mais en suivant une initiation précise et avec une éthique sans faille.
@Lion : Merci pour ton témoignage impressionnant...
Supprimeroui avec l'absinthe, c'est une autre façon de le dire en effet...! :-)
Il ne faut jamais douter sur ce qui concerne Dieu, mais en tant qu'humain il ne faut pas avoir une foi aveugle en soi-même... car ce sera bien par nos "sentiments" que nous risquons de chuter.
Donc tu as raison et je partage, ne jamais être sûr de soi-même au point de se dire "incorruptible".
Oui on est bien en fin de cycle et les influences pernicieuses se font de moins en moins discrètes... :-/
Il y a dans le dernier chapitre de "La crise du monde moderne", un passage à la fin que tu apprécierais je pense. Je vais essayer de le trouver sur internet et je le publierai...
Ce qui est certain, concernant "la nuit obscure" est que la lumière se fait en soi, après des jours et des jours "d'appel" par la prière ou, au moins des pensées vers la lumière.
RépondreSupprimerDes appels constants.
l'effort est constant et se fait, souvent dans l'obscurité (impression d'être abandonné par le divin). Puis, le contact revient. Pas longtemps (car, malgré l'effort constant, tout n'est pas encore bien bien observé).
Mais quand on a passé tant d'années à ne "pas écouter", il n'y a rien à dire, pas de "rouspétance" à extérioriser.
Puisque, après tout, les instances de lumière ont fait preuve d'une patience infinie.
D'autant que pour d'autres, le parcours est différent et ils ont souffert dès le début de leur vie, et d'ailleurs, malgré mes envolées lyriques matérialistes et orgueilleuses, durant tous ces ans, je n'ai jamais oublié, qu'il y a des gens qui souffrent beaucoup trop.
Plus dans le soutien envers ceux qui souffrent (soin du corps, mais aussi de l'esprit, de par cette persévérance à toujours chercher du positif, même quand rien ne l'est) que envers la "chasse" de ceux qui font le mal.
Peut être une indication de "mission"?
J'aime de façon inconditionnelle, ceux qui ne sont plus "rien", ou pas encore, ou abandonnés, perclus de souffrances, rejetés, mais plus de mal avec ceux qui se "pensent" encore quelque chose : peut être l'effet miroir de ce que je fus, est il très désagréable ?
J'ai lu le lien que Alfihar VH a mis, et, en effet, l'embrouillage risque d'être très dense et le chemin des croyants est vraiment escarpé.
Donc, il m'est difficile de suivre certaines expositions très mystiques sur le blog de Rorschach, car, je me suis tournée de façon inconditionnelle vers le Christ que très tard (malgré des "signes" ponctuels, mais réguliers, durant tant d'années, qu'il fallait passer à autre chose).
Pour autant le chemin vers la lumière est vraiment difficile, il demande un effort constant en n'étant couronné de rien du tout, la plupart du temps.
Un rêve avait déjà montré la difficulté de toute cette histoire : cheminant sur des ponts et des corniches un ami m'entraînait vers une sorte de tour faite de lumière.
Mais ayant le vertige, je finissait par paniquer et bloquée au pied de la tour, ne pouvant rebrousser chemin (escarpé, fin bordé par le vide), ni monter.
Je lis l'article sur le madhi (sur ce blog) car, même si je n'ai pas une grande connaissance des textes traditionnels, je suis intéressée, car, tout va devenir de plus en plus difficile et embrouillé et peut être même qu'il va falloir cheminer (mentalement) sur des chemins fins et bordés de vides immenses, car, je crois que la difficulté vue dans ce rêve, concerne tous ceux qui cherchent à cheminer dans la spiritualité.
Tous n'ont pas le vertige, les difficultés sont peut être différentes, en fonction des peurs, des freins personnels.
Le chemin "ressemblait" un peu à ça (image la plus approchante) :
https://www.youtube.com/watch?v=atjKkVt2HUE
Arrivé à ce niveau de décadence, ce ne sera même un sentier étroit mais un fil ! ;-)
SupprimerJ'ai vu qques images de la vidéo et j'ai arrêté... je suis sujette au vertige aussi !!!
Je ne suis "revenue" à la religion que très tard aussi.... Quant à Guénon, cela ne fait que 6 mois que je le lis assidûment... ;-)
Par contre, quand tu dis que le vrai chemin n'est couronné par rien du tout, tu veux sans doute dire ici-bas ? Parce que pour ce qui nous attend après, c'est pourtant la seule et unique voie... :-)
C'est une bonne démarche de t’intéresser aussi à ce que disent les autres religions. D'autres auraient purement et simplement ignorés le Mahdi... ;-)
Ne suis pas une nature à suivre les rites, mais plutôt à m'intéresser à l'esprit, au fond des choses, les formes sont souvent là, pour juste "appeler" le fond (mais pas toujours).
SupprimerEnfant, je reconnais avoir fait voir les "pierres" aux soeurs avec mes nombreuses questions.
J'ai toujours pensé que chaque groupe humain détenait une partie de la vérité (principe de la tour de Babel).
Il y a la Bagavah gita que je voulais donner à une amie (puisque je l'ai très peu lue, alors qu'elle est fortement intéressée) ce livre est revenu une fois, la deuxième, l'adresse s'est carrément décrochée de l'emballage, ce livre ne veut pas "partir".
Il doit rester avec moi (pourquoi ? je l'ignore).
Pour le Mahdi, c'est plus délicat, mais, alors que je ne connais rien à l'islam, ce personnage attire mon attention.
Pour moi, qui vient pourtant d'une autre religion, et avec en plus un passage par le "chemin des écoliers" en matière de spiritualité, je prends ce personnage très au sérieux, même si je découvre l'existence et le rôle de ce personnage depuis que je viens sur le blog de Rorschach.
En tout cas, tu as de solides connaissances en matière de textes.
Supprimer@Lion : J'ai appris que les rites étaient indispensables... Mais comme toi, j'ai beaucoup de mal à respecter ceux (extérieurs) de ma religion (aller à la messe par ex). Je n'ai pas encore réussi à aller au-delà de ma répulsion vis-à-vis des "représentants"... :-/
SupprimerPour mes "connaissances"... Mes lecteurs en savent souvent plus que moi sur certains sujets (Guénon, l'Islam, la Tradition...) et ce sont nos échanges qui me font progresser... :-)
De plus, si je peux comprendre certains textes, d'autres en revanche me sont complètement hermétiques pour l'instant. ;-)
Merci pour le livre.
RépondreSupprimerJe suis entrain de lire les articles du blog, que j'ai raté (à un moment, je me suis sentie dépassée par les événements -trop d'activités, d'ailleurs ça va reprendre-, n'arrivant plus à suivre).
Au lieu de m'acharner (comme j'aurais fait, avant); il vaut mieux prendre du recul et revenir lors de périodes, plus calmes -quoi qu'il faut le dire vite, avec l'actualité-).
Juste une chose : mes connaissances sont essentiellement empiriques concernant la tradition spirituelle (hors alchimie), c'est pour cela que je suis souvent réduite à illustrer mon propos par du témoignage perso ou exposer des rêves (réellement faits).
RépondreSupprimerJe ne suis pas vraiment une exégète, même si, je dévore pas mal de livres, les articles et liens, n'ai pas le recul (temps, assimilation) qui permettrait des réflexions ou questions vraiment intéressantes.
Même si ce que j'écris a l'air égocentrique, je fais un peu avec ce que j'ai et il n'est pas possible d'exposer les vies d'autres gens :
surtout dans le domaine quête spirituelle, il s'agit souvent d'un chemin perso.
Même si, des rencontres (dans la vie, et dans le travail, mais plus dans le travail au contact des personnes âgées que dans le milieu universitaire, la jeunesse me semble vraiment perdue avec des guides (adultes), qui suivent, trop souvent, des illusions, sans savoir vraiment où ils les emmènent) jouent un rôle parfois déterminant.
Au final, le monde de la jeunesse m'apparaît plus triste que celui de la vieillesse, en cette époque étrange.
"Par contre, quand tu dis que le vrai chemin n'est couronné par rien du tout, tu veux sans doute dire ici-bas ? Parce que pour ce qui nous attend après, c'est pourtant la seule et unique voie... :-)"
RépondreSupprimerJe ne sais pas car,
nous vivons dans des sociétés où le bien être s'est développé au détriment d'autres civilisations.
Nous ne savons pas réellement ce qu'est manquer, nous ne savons pas non plus ce qu'est souffrir, puisque la chimie éteint la plupart de nos maux.
Nous avons vécus dans un confort, voire un luxe pendant que d'autres traversaient les enfers sur terre.
Sur le plan individuel (je ne peux parler pour les autres), il serait inconvenant que je me plaigne de quoi que ce soit, sur le plan santé, niveau de vie, soin environnants, accès à la culture...pendant que d'autres souffraient de maladies chroniques, infirmités tout en continuant leur train, et même faisant rayonner la joie autour de eux.
Même si je pense ne pas avoir abusé de la dolce vita, et ai pensé à tous ceux qui eurent moins de chance, d'autres avaient déjà commencé à cheminer :
des gens dont l'essentiel de la vie est des s'occuper des autres, sortis de leur travail, ils s'intéressent au voisin de palier, alité, malade ou vieux... et ne s'arrêtent jamais.
Qu'il y a des gens qui distribuent joie et bonheur tout en vivant dans des décharges
qu'il existe des êtres dont on se demande bien où ils vont chercher cette joie qui ne s'éteint jamais, cette énergie à être toujours présents, cette abnégation et cette force morale.
Alors, je ne me fais pas beaucoup d'illusions sur le salut.
Non, suivre le chemin, pour rien, parce qu'on est là, et puis peut être sur ce "rien", naît, se forme, peu à peu, comme un être, un amour inconditionnel et absolu pour quelque chose d'indéfini, impalpable et insaisissable.
Même si cette "énergie" (cette puissance divine) on l'entrevoit dans tous les êtres, l'aperçoit carrément dans certains, on l'espère dans d'autres, il demeure invisible.
J'ajoute que je n'ai pas atteint cet état, ni ce niveau, mais ça prend forme et cela me semble la seule voie.
Re-bonsoir, désolé c'est un peu hors sujet, mais je m'inquiète de voir certains posts sur le blog de Rorschach qui semblent promouvoir l'etat islamique... Je trouve ça très grave, qu'en pensez-vous ? Je suis peut-être parano mais si des trolls arrivent à introniser ce genre d'idées sur un blog, c'est un excellent alibi pour le faire fermer... ou pire
RépondreSupprimerDe toutes façons, les gens ont désormais tendance à confondre et mélanger tout, alors nul doute que certains en profitent pour obscurcir encore plus les choses.
SupprimerDaesh est une création de l'Occident pour discréditer par avance l'action du Mahdi et le cataloguer "terroriste". Sauf que ce dernier agira bel et bien avec l'accord de Dieu et pour rendre la Vraie justice.
Il y a aussi un travail de "sape" sur l'Islam... y compris de l'intérieur par ceux qui obéissent au NOM et non à ce qui est dit dans le Coran.
Si cela va trop loin, Ror fera le ménage je pense... Mais à nous aussi de pouvoir côtoyer certaines déviances sans s'y laisser prendre ; un bon entraînement pour plus tard car cela affûte notre discernement ! ;-)