lundi 28 novembre 2016

Hommes, Femmes, Survivalisme et Défense Familiale:

Article rédigé par Vic Survivaliste

Pourquoi des rôles différents pour des sexes différents ?




Notez que ce billet contient des généralisations. La généralisation, si elle s'appuie sur les grands nombres et qu'elle est vérifiée, est saine car elle trace de grandes lignes tout en permettant les exceptions. Veuillez donc en tenir compte.



Dans ce billet j'emploie délibérément le mot sexe plutôt que genre, si à la mode. Pourquoi? Pas par biais idéologique: par biais naturel. Le genre est un construit idéologique, le sexe est un constat naturel. Une femme qui prend les attributs physiques extérieurs d'un homme ne prend pas ses attributs physiques intérieurs, notamment sa masse musculaire. Et vice versa.

Ceci étant dit — et je trouve déplorable qu'on soit obligé de préciser des telles notions — hommes et femmes n'ont pas les mêmes missions en défense familiale.

N'y voyez pas un relent de machisme ou voyez-en un si vous voulez, il demeure que la Nature et même la Culture qui s'est érigée autour de l'Ordre Naturel, à savoir le respect de la Nature, veulent que les capacités de combat et de défense soient différentes chez les hommes et chez les femmes. Ainsi, si elles sont différentes et de beaucoup en plus, si on associe l'homme à la guerre et la femme à la tenue du foyer, en revanche les capacités "guerrières" des femmes ne sont pas nulles.

Alors, en terme de capacité de défense, on dira des hommes qu'ils doivent savoir se battre et des femmes qu'elles doivent savoir se défendre.

Plusieurs raisons derrière cette différenciation de rôles

Hommes et femmes sont différents en terme de capacités « guerrières ». 

1) La force musculaire

Il y a d'abord la question de la force musculaire. Le corps de l'homme est beaucoup plus musculaire et fort:
«Ce qui différencie l’homme de la femme est avant tout sa force musculaire. Des études montrent que la différence de force musculaire entre les deux peut atteindre jusqu’à 50%, différence due à la quantité de production de testostérone. » 


2) Les hormones

Ensuite il y a les dispositions d'esprit. La testostérone est une hormone qui a deux principaux effets sur l'esprit de l'homme, qui peuvent se résumer, comme le dirait Ken Wilber : à baiser et à tuer. L'agressivité plus élevée de l'homme par rapport à celle de la femme vient de la présence de cette hormone dans le corps masculin. 

Ainsi l'homme sera beaucoup plus enclin à engager le combat que la femme ne peut l'être, spécialement si elle se sait en infériorité de force. Il n'aura pas besoin d'être acculé au pied du mur et dans ses derniers retranchements pour maximiser ses capacités agressives, contrairement à la femme qui peut devenir une réelle et redoutable adversaire mais uniquement lorsqu'elle n'a plus que le recours à la violence comme alternative.

Chez la femme on a en revanche l'ocytocine, une hormone extrêmement fascinante. Je reproduis un long extrait car il en vaut la peine.

Au cours des premières semaines après l’accouchement, la production soutenue d’ocytocine va favoriser l’attachement mère-enfant. Il s’agit ici d’effets centraux de l’ocytocine (voir l’encadré), c’est-à-dire de modification dans les circuits mêmes du cerveau. Chaque fois que la mère allaite son enfant, celui-ci améliore donc en retour, par l’entremise de l’ocytocine, le lien qui l’unit à sa mère. Durant les mois ou les années où l’allaitement va se poursuivre, l’ocytocine va continuer de garder la mère bien nourrie et détendue malgré les nouveaux défis apportés par la présence du bébé.

La recherche sur l’ocytocine a peu à peu révélé que ce peptide pouvait avoir des effets à d’autres niveaux sur les individus en dehors de son rôle dans la grossesse, l’accouchement et l’allaitement. C’est ainsi qu’on a découvert que deux autres types de lien bénéficient également des services de l’ocytocine : le lien qui se crée entre deux individus dans une relation amoureuse et, plus largement, le lien social qui nous unit à nos proches. [les caractères gras sont de Vic

Contrairement aux représentations courantes et traditionnelles, la femme n'est pas un être d'abnégation, de sacrifice et de don de soi, bien au contraire, SAUF, quand il s'agit de sa famille et des gens avec qui elle est en relation étroite.

Pour avoir travaillé sur la route pendant cinq ans et demi, j'ai pu voir les effets des hormones sur le style de conduite des automobilistes.

Règle générale: les femmes sont peu courtoises, cèdent peu le passage, ont plus tendance à agir comme si elles étaient seules sur la route, remercient moins quand on leur cède le passage mais quand elles remercient, c'est très manifeste et gratifiant; et elles ont plus tendance à couper le chemin des autres automobilistes que les hommes mais... elles sont plus prudentes et beaucoup moins susceptibles d'adopter un comportement risqué ou dangereux.

Règle générale: les hommes sont plus courtois, cèdent plus le passage, remercient plus souvent quand on leur cède le passage mais le font plus discrètement voire de manière renfrognée, partagent mieux la route, sont plus enclins à arrêter pour donner un coup de main à un autre automobiliste en panne, mais peuvent adopter des comportement extrêmement dangereux pour eux, leurs passagers et les autres automobilistes et fréquentent plus les limites du danger que les femmes.

Tout cela, ce n'est pas un comportement culturel: on n'enseigne pas aux femmes à ne pas être courtoises, on ne leur enseigne pas à conduire sans tenir compte des autres, ni à couper le chemin. Et on n'enseigne pas non plus aux hommes à être imprudents et à flirter avec la conduite dangereuse. J'irais même jusqu'à dire que ces comportements naturels défient la culture car on enseigne aux hommes, depuis plusieurs décennies, à être moins agressif, (on l'émascule, pour dire franchement) et aux femmes à s'affirmer davantage et à agir comme si elles avaient de la testostérone.

Cela, c'est en gros l'effet des hormones spécialisées dont je parlais plus haut. La testostérone favorise les comportements dangereux, le besoin de prouver qu'on est un meilleur mâle que les autres car plus habile au volant mais paradoxalement, favorise le développement du respect d'autrui car nous avons toujours en tête que le coup de poing sur la gueule peut survenir. L'oxytocine sur-développera l'attachement et le dévouement envers ses proches alors que l'étranger la laissera généralement indifférente, sauf si elle se projette en lui. 

La femme se révélera donc une bien meilleure défenderesse des siens que l'homme mais l'homme sera plus habile et efficace à le faire, quoiqu'il pourra se rendre avant que la femme ne le fasse. 

Par contre, quand il s'agit d'aller porter le conflit chez autrui, la femme n'a pas la réserve d'agressivité nécessaire dont l'homme dispose et de ce fait est une moins bonne agresseuse. 

3) Les réalités biologiques

Ça risque de déplaire mais il faut le dire: c'est la femme qui porte les enfants car c'est elle qui a les œufs. Si on se fie à la seule Nature, une fois les enfants mis au monde c'est elle seule qui maintient son enfant en vie et qui peut le rendre vivant aux premières étapes de son autonomie. Par ailleurs, pour le développement de l'enfant, la présence du père est peu significative dans les deux premières années de vie car les besoins du bébé sont avant tout maternels. 

L'exemple est éculé mais néanmoins vrai: la mère reste à la maison pour soigner ses petits et le père part à la chasse ramener le beefsteak. Tous deux sont mieux équipés pour leurs rôles respectifs.
Une illustration de la capacité supérieure de l'homme pour chasser, c'est le daltonisme: huit hommes sur cent sont daltoniens alors que seulement une femme sur deux cent l'est. Pour chaque femme  daltonienne, on compte 16 hommes qui le sont. 

Le daltonisme permet de mieux distinguer le vert et le brun, un avantage indéniable dans la nature quand il s'agit de chasser ou de combattre des ennemis en rase-campagne. Cet avantage génétique, comme tous les attributs génétiques, sont hérités de la longue série d'évolutions qui favorisent les mutations destinées à mieux s'adapter à l'environnement.

4) Les réalités comportementales
En territoire conquis, ce sont les femmes qui sont agressées sexuellement, surtout quand les états-majors ferment les yeux, comme en Allemagne en 1945. Mais aussi en France dès 1944. 

Une armée de femmes ne se mettra pas à agresser sexuellement des ennemis conquis...
C'est pourquoi l'homme doit savoir se battre et la femme, se défendre. L'Homme est mieux équipé que la femme pour les comportement agressifs et brutaux, donc les affrontements entre individus mais aussi entre troupes et armées. Par contre la femme ne doit pas rester passive car l'homme parti, elle est le dernier rempart défensif de sa famille et souvent, elle est ciblée elle-même.
C'est pourquoi les pubs de la NRA mettent aussi en scène des femmes. Et je ne peux que m'en réjouir.
« Maman n'a pas éduqué une victime »


Beaucoup de femmes contaminée par le poison féministe nient la violence et veulent la bannir. Mouahahaaaa! La violence fait malheureusement partie des aléas de la vie et les premières victimes sont les personnes les moins à même de se défendre.

C'est pourquoi, en tant que survivaliste et en tant qu'homme, j'encourage fortement les femmes à apprendre à se protéger, à se défendre et à défendre leur famille. Bien qu'il soit de la responsabilité naturelle (et encore culturelle) de l'homme à aller porter la violence chez l'ennemi et à protéger sa famille, il est de la responsabilité de la femme de constituer le dernier bastion défensif du foyer familial et de pouvoir représenter une menace crédible et efficace pour les éventuels agresseurs.

Comme homme, loin de me sentir concurrencé dans mon rôle, je considère essentiel que la femme puisse constituer une force capable d'opposer une défense efficace à des gens hostiles. Comme homme, je me sens appuyé, je sens mes arrières couverts et comme père de famille, je suis rassuré.

Je ne suis plus partisan des femmes dans les unités combattantes des forces militaires comme je l'ai déjà été, les récentes expériences dans le corps des Marines US démontrent que les unités mixtes performent moins bien en exercice, ça ne peut qu'être pire en situation de combat. En revanche, toutes les femmes devraient apprendre à se protéger à main nue et en affrontement armé, d'autant plus que:

God made men, but Sam Colt made them equal
(Dieu a créé l'Homme mais Sam Colt les a rendus égaux)

Un .357 Magnum fera toujours le même dommage, qu'il soit tenu par un homme ou par une femme...

La Nature est sexiste


On n'y peut rien: la Nature est sexiste et hommes et femmes ne sont pas égaux, pas plus que deux hommes ne sont égaux entre eux et deux femmes ne sont égales entre elles. Si certains outils égalisent des capacités bien précises, notamment celle de défendre sa vie, encore faut-il avoir la résolution de s'en doter et de les utiliser.

Si certains hommes survivalistes (et il y en a peu) voient d'un mauvais œil le développement des capacités de défense de leur conjointe, c'est qu'ils ne considèrent pas le Bien Commun de la famille mais leur seul statut et ce sont de profonds imbéciles.

Si une femme considère que c'est la seule responsabilité de son mari que celle de la violence défensive, alors elle mérite bien le demeuré qui lui sert de mari et qui pense comme elle.

Mesdames, apprenez à vous défendre et armez-vous, pratiquez-vous et devenez le bastion dont chaque famille a besoin. Messieurs, renouez avec votre nature guerrière, cultivez-là, développez-là et encouragez votre conjointe à développer ses capacités de violence défensive. Le tout dans le respect de la Loi et de l'Ordre.


Source : http://preparationquebec.blogspot.fr/


2 commentaires:

  1. En matière de survivalisme, comment ne pas citer également l’excellent site de pierre templar: survivre au chaos avec ta permission ligeia ;)
    de la préparation matérielle, physique psychologique, humaine ou inhupaine et spirituelle (bon j’avoue c'est pas trop le truc du site la spiritualité encore que... il n'y est pas indifférent.
    https://survivreauchaos.blogspot.fr/

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